INTRODUCTION
Considérations au sujet des FEM induites :
LlE = – dB/dt, est équivalent à un champ électrique qui accélère les électrons.
Ce n’est qu’une équivalence, physiquement, le phénomène n’est pas identique à un champ électrostatique.
Dans un champ électrostatique, les charges sont immobiles.
Dans un champ EM, les charges électriques (électrons) sont en mouvement par rapport au champ magnétique qui les croisent :
E = L( N ) { e + V x B} , loi de Lorentz
E = a V/ ar, vient d’un potentiel fixe
Une description scientifique et une classification correcte de n’importe quel terme qui y serait inclus, révèlerait sa nature énergétique
– Le terme B x V est d’une grande importance dans cette thèse
Elle révèle une perspective de nouvelles opportunités pour la recherche
– Formules identiques entre les formules de la théorie de la gravitation EM et celle de la gravitation classique, suggérée par la loi de l’inverse du carré des distances.
Ces champs, émanant de la terre, sont la source d’énergie libre (électrique) La gamme de Fq se situe vers 1013 cycles/sec.C’est actuellement, au-delà de la limite des oscillateurs actuels s 1011cyc/sec.
La capture de cette énergie, pourrait remplacer l’énergie atomique. Le travail d’ T. H . Moray est d’un intérêt vital à cette thèse. Sans le savoir, ce chercheur à crée son dispositif à partir de l’énergie de la terre – – – – jusqu’à 50 kw – – – – . Conclusion du Dr Erying.
ANTI- GRAVITE ET ENERGIE ELECTRIQUE
Deux possibilités : lévitation et énergie électrique.
Lancement d’un générateur et d’un récepteur électronique se composant : des champs électriques en mouvement, sous forme de pulsations UHF dirigées. Production de faisceaux de lumières cohérentes et concentrée. Générateur modifierait localement la gravité, dans un sens ou un autre. J.e développement des redresseurs UHF (ondes millimétriques et en-deçà) pourra être la première étape pour la récupération de l’énergie électrique.
Deux champs électriques en mouvement, entièrement dissemblables Le 1er, vient du mouvement de rotation du flux magnétique (forme toroïdale) autour de l’orbite des électrons. Le 2ème, est formé par le mouvement de translation du flux magnétique des électrons planétaires révolutionnant sur leurs orbites. Le 1er, crée une intensité électrique radiale variant inversement à la distance de ces électrons. Le 2ème, varie comme le cube de la distance. Le 1er, pourrait être l’intermédiaire créant l’attraction gravitationnelle. Placé dans ce champ, le corps (noyau) devient électriquement polarisé, il se produit une très petite séparation des charges. H y a une petite résultante d’attraction. Sur un atome d’hydrogène, l’électron tourne autour du noyau à une Fq = 6,8 x 10 10tev/sec.
Il subira une force F= QEm
on a : dF/dr = Q( dEm/dr) => dF = Q ( dl:m/dr)
Résolvons 8F, qui est la différence entre la poussée et l’attraction :
8F=Qqr0ro8r/r2••••••••••••8W=8F.8r’=kQqr.r2
Il y a, à peu près, 1013 attractions et poussées simultanées 8F chaque seconde,
Dans l’atome H, Q=q : 8W = K”. Q. r3w/r
Le phénomène est sinusoïdal et on a : Q2= k0• M1.M2 le produit des 2 masses atomiques, et G= K”’k0w3/2½, en remplaçant 8Fe simplement par F=> F= GM1M2/r2
Ce champ EM serait l’opérateur essentiel qui produit l’attraction qu’on appelle ” GRAVITE11
3 CHAMPS AUSSI DIFFERENTS L’UN QUE L’AUTRE.
EQUATION DE LA FORCE ELECTROMAGNETIQUE
3 forces ajoutées vectoriellement donnent l’équation suivante
(En unités MKSA) => E = Ec + Em + Et E = Q-c/ 41te O r3 + (B X V ) – 8A/ at .
D’autres auteurs donnent, pour l’équation ” nouvelle électrodynamique”
E = Ec + Em + Et
= F/Q = Q.r/4ner3+ a(r).Q/4nr2.e (v/c)2~ 1- 3/2cos20 r – a(a). Q/4nec2r.dv/dt
(2) (1) (1) (1)
Dans cette équation, on peut calculer les intensités électriques sans prendre en considération aucun concepts de champs, électriques, ou, magnétiques ! !
La règle de superposition des champs reste toujours valable.
Equation des champs Ec et Em , superposés , parallèles, et directement opposés :
E = Ec – Em = 0
Une expérience ultérieure permettra de donner une réponse claire, à l’application de superposition des champs.
Classement des différents champs E et, M : en unités MKS
- Ec = Q/ 4ne 0 r/r3 : champ de Coulomb dû à la présence de charges.
- Em = V x Bs : champ électrique en mouvement
- 8Et = -dB/dt ou Et= – dA/dt : le champ électrique Et qui vient du flux variable (flux d’induction), B = f(t) ; A = potentiel vecteur.
CHAMPS ELECTRIQUES
- 8Hs = J : champ magnétostatique HS produit par une densité de courant de conduction J à l’intérieur d’un milieu conducteur.
- Hm = – V x De : le CM en déplacement par rapport aux charges électriques produites par l’induction De
- 8Hr = 8Dc/8t : le champ magnétique Hr entourant une induction électrique appelée : déplacement de courant jouant un rôle important dans la production de rayonnement EM
CHAMPS MAGNETIQUES
Forces mutuelles exercées par des charges électriques :
- Ec forces électriques, de répulsion, ou, d’attraction.
- Em : elles exercent des forces supplémentaires en fonction de leur vitesses.
- Et : exercent des forces supplémentaires en fonction de leurs accélérations, par lesquelles surgissent une FEM, et, des rayonnements EM.
Loi de Faraday de l’induction :
FEM = – 8N/8t = d (BA)/ dt = B.dA/dt – A. dB/dt. (1)
GRAVITATION
La gravitation est la seule force connue, de la nature, qui agit, sans diminution apparente, dans et à travers la matière (en général).
Le champ électrique en mouvement Ex V, ne subit pas de diminution, son comportement a des aspects semblables à ceux de la gravité.
Le champ électrique V x B, exerce une force et provoque l’accélération des charges électriques. Ce champ est insensible aux blindages électriques, et, électrostatiques. Il peut atteindre chaque partie de la structure atomique. Cette propriété de pénétration fut découverte à l’époque de Faraday. On ne lui accorda pas beaucoup d’importance à cette époque.
L’essentiel de cette thèse est quë la fo~ce gr~\l’it~tiôhnelle est la différence entre l’attraction et la répulsiori d’un champ électrique 8 x V , convergent ou divergent, agissant sur les constituants tle l’atome . En conséquence, le phénomène de h1a~s’est indépendant de celui du poids.
Mouvements de plusieurs espèces orbital , vibrationnel , processionnel .
Les électrons planétaires possèdent un moment magnétique, tournent autour du noyau, et, créent des champs magnétiques
Si , 2 de ces électrons planétaires appairés tournent dans des directions opposés , , leurs champs magnétiques , dü au SPIN , s’annulent l’un , l’autre, mais que les champs B x V de ceux-ci, par construction, se renforcer. Ils sont dirigés radialement vers le noyau.
Il est possible, de calculer la dérive connue des ions positifs de l’atmosphère vers la terre, et les ions négatifs vers le haut. Modèle de l’atome de Bohr : le champ magnétique (formule éi6tî’Savart – Ampère), en unité MKSA
B=q.vxr0/r3 r = vecteur radial de q au point P , où on mesure B
Ce champ magnétique a une forme toroïdale, l’électron le transporte avec lui, il est donc en mouvement par rapport au noyau.
Le vecteur Em = B x V= -q ( v x r) x V/r3 et quand r » r O , V = rœ et v = r O œ Em = – ~r O co2/r approximativement