1. Découvertes de N.Tesla dans le domaine des ondes E.M.
    2. La théorie actuelle de l’EM est déficiente dans ses définitions fondamentales.
    3. Définition du POTENTIEL ELECTROSTATIQUE SCALAIRE—SEP—
    4. Le SEP fut developpé bien avent la théorie de la relativité.
    5. Un vecteur EM transverse est le résultat de deux ondes longitudinales couplées par paires.
    6. L’onde scalaire viole l’un des postulats fondamentaux d’Einstein.
    7. L’interféromètre scalaire en Géologie : phénomènes constatés, explications.
    8. Explication des boules de feu, de l’effet PRIGOGINE, etc.
    9. Production d’un champ EM à distance, sans pertes.
    10. Possibilité de détection des ondes Tesla, appareillages de détection déjà construits.
    11. Production de –SEP— par Tesla : ces ondes sont à 4 dimensions, espace-temps complexe.
    12. Expériences de Tesla— réalisations de J.H. Rogers, de TH. Moray, lesquels utilisent des ESP.
    13. Caractéristiques, propriétés des ondes de Tesla — conséquences théoriques et pratiques.
    14. Conséquences et rapports avec ses supporters financiers.
    15. Système de captage de l’énergie libre par l’appareillage T.Moray.
    16. N.Tesla découvre des systèmes d’armes à base ESP, fantastiques.
    17. Découvertes de Tesla récupérées par les Soviétiques.
    18. Réalisations de systèmes d’armes soviétiques comme conséquences : canon ESP. Description de ce canon très particulier
    19. Possibilité de dématérialisation, anti gravité, invisibilité, etc
    20. Psychotoniques Association conférence : ses conclusions pour l’avenir.
Références bibliographiques et journalistiques.
En d’autres mots, la lumière peut n’être rien d’autre qu’une onde sonore dans l’éther. Il apparaît clairement, expliquait Mr. Tesla, que si on comprend cela, il n’y a pas d’éther maxwellien, il ne peut avoir d’oscillations transverses dans le milieu. La théorie newtonienne, croit-il, est erronée parce qu’elle ne peut expliquer entièrement comment une petite chandelle projette des particules à la même vitesse que le soleil flamboyant lequel a une température beaucoup plus élevée. Par l’expérience, on est sûr, disait Mr. Tesla, que la lumière se propage à la même vitesse indifféremment du caractère de la source ; une telle constance de vitesse s’explique seulement en supposant qu’elle est dépendante uniquement des propriétés du milieu, la densité d’espace et la force élastique.

Possibilités (de créer) des micro-ondes

Arrivant maintenant aux ondes sans fils, il est vrai qu’elles ont les mêmes caractéristiques que les ondes de lumière , elles ne pas transverses mais longitudinales ; question de fait , les ondes radio émises ne sont rien d’autre que des ondes sonores dans l’éther, et quand les spécialistes comprendront ceci ils trouveront beaucoup plus facile à expliquer les observations curieuses faites dans les applications de ces ondes. C’est principalement un fait que les ondes radio sont comme les ondes dans l’air ; il est évident que , plus les ondes sont courtes , plus elles pénètrent dans le milieu ; en 1899 je produisais des ondes E.M. de 1 à 2 millimètres de long et observait leurs actions à distance ; il y a eu un grand espoir exprimés par divers ouvriers que l’introduction de ces ondes auraient un effet révolutionnaire , mais je ne partage pas leur opinion ; elles seront utilisées bien sûr mais des applications très limitées . Il est manifeste que les applications d’ondes très courtes ne produiront pas d’appréciables effets vers l’art du sans fils.

“Erreurs” retardant l’énergie sans fils

Quelles sont les possibilités de la transmission d’énergie par le sans-fil ? demanda l’enquêteur Ici de nouveau Mr. Tesla critiqua” un étrange défaut de conception des experts” et de” graves erreurs” retardent les idées ; il croît que s’est effectué, l’énergie voyagera sur les grandes ondes et non pas sur les ailes d’ondes courtes produisent (de façon non économiques) ; il a dit qu’il garantirait le schéma d’un émetteur d’énergie sans fils d’être entièrement pratique. L’application d’ondes courtes pour des buts énergétiques” a dit Mr. Tesla” implique un appareillage compliqué et cher pour la rectification ou la transformation de fréquences, qui ferait un délai important à effectuer un projet de cette sorte beaucoup plus difficile d’un point de vue économique.
Radio TV Expérimenter and Science and Electronics. Juin/ Juillet 1969 pp 71,72 Par g.w.Lagus ( l’exposé est un résumé de l’article initial du sujet).

L’utilisation de la terre comme circuit H.F.

L’auteur montre qu’il y a 2 types de capacité : unipolaire ou une seule borne (connecteur), et bipolaire ou 2 connecteurs). Chaque conducteur individuel peut être considéré comme un condensateur à un seul connecteur, telle une sphère métallique. L’antenne et la capacité du sol sont exposés. La capacité de la terre a été calculée : elle vaut 707 µF . Tesla donnaa plusieurs démonstrations de la faisabilité d’électrifier de grandes surfaces de terrains par la·propagation par le sol de courants H.F. La terre étant utilisée comme partie de systèmes de 2 conducteurs à basse fréquence , comme par ex. en télégraphie, en téléphonie, et émission d’énergie A.C. Mais la terre a beaucoup trop de pertes en H.F. pour être utilisée efficacement comme ligne de transmission à un conducteur . Sa principale utilisation en travail H.F. est celle d’une capacité auxiliaire , ou réservoir de charge .

TEXTE 01 Un critère conditionnel pour l’identité à la 4ème loi de la physique —Spécula

  1. Journal de l’A.A.M.S., P.O. Box 1182, Huntsville, AL35807, combined Vol. 3/Nn4. Vol. 4/N°3. Oct.1980 Mars 1981, pp 50/57 (aussi disponible au Service d’information de la défense.
  2. Noter que c’est une identité des opposés, laquelle viole explicitement les 3 lois de la logique ; voir Bearden ” un critère conditionnel pour l’identité, menant à la 4ème loi de la logique “ ; loc. cit. 1981.
  3. Noter à nouveau que la 4ème loi de la logique , mouvement zéro ( l’absence de mouvement) étant reconnue comme un cas particulier de la présence de mouvement Aussi la réalité physique consiste en des niveaux multiples , tout objet physique ( corps) à une sous structure interne à niveaux multiples ( série de ) structures plus fines se prolongeant vers le bas dans l’état virtuel (non observé) ; pour un vecteur modélisant un objet physique de lui-même , il doit être modélisé de façon à refléter cette sorte de sous structure ; ainsi l’utilisation des vecteurs géométriques comme modèles d’objets physiques en mouvement est actuellement imparfaite d’une façon fondamentale.
  4. Le lecteur est, le plus fortement, encouragé à lire Morrin Kline : Mathématics ” the loss of Certainty” ; Oxford University Press. New York 1980. Comme prélude à comprendre ce que les mathématiques sont et ne sont pas, et quoi faire et ne pas faire.
  5. Se référer à Lindsay et Morgenau, op. cit. pp 79/81 . Pour voir comment les idées de mouvement et vecteur sont inextricablement emmêlés avec l’idée d’une particule.
  6. L’appeler incertain, ou l’appeler constituant ; une modification de quantum est composée de 2 entités canoniques, inextricablement soudées ensemble en une simple entité.
  7. Le temps est une constituante inévitable, non exclusive· d’un quantum soudé.
  8. Simplement venant de la définition de la force comme consistant d’une modification, changement d’un temps et d’un mouvement de masse’ x longueur(grossie).
  9. La force est un effet, non une cause ; c’est la particule (grossie) chargée ; ceci est causé par un mécanisme plus fondamental ; c’est le résultat de la combinaison d’un (1) 6cj,~O et la présence d’une rotation (tourbillon) d’une particule chargée ; dans un 6<)>, la particule tourbillonnante s’accélère d’elle même ! c’est le secret fondamental de l’énergie libre qui a été supprimé, pour enterrer le travail de fond de N. Tesla ; peu après que Tesla fut forcé de saborder ses essais à Warden Cliffe pour alimenter le monde en énergie libre.
  10. Pour citer ” la thèse des ondes de Hertz de transmission sans fils peut être maintenue pendant quelque temps, mais je n’hésite pas à dire que dans un temps bref on reconnaitra comme l’une des plus remarquables et inexplicables aberrations de l’esprit scientifiques qui a été jamais enregistrées dans l’histoire” N. Tesla : le vrai sans fils” Electrical Expérimenter May 1919, p87 …
  11. De Beauregard O. Costa” course rétrograde dans le circuit Mermin” ; “Causalité dans les corrélations EPR. ” American Journal of Physics ; Vol. 51 N°6 Juin 1983 p 515.
  12. Noter les expériences de Kozyrev , scientifique soviétique avec les ondes de temps ; voir Kozyrev .N.A. “Possibilité d’étude expérimentale des propriétés du temps”
    Septembre 1967, pp 1 /49 , dans JPRS 45238. Mai 1968. Kozyrev rapporte des effets physiques, réels de l’oscillation du temps ; aussi, noter que l’énergie potentielle scalaire de valeur appréciable, respectivement à l’énergie d’une particule au repos peut forcer la situation d’être relativiste , bien que la vitesse de la particule soit petite par rapport à la vitesse de la lumière ; c’est que le potentiel scalaire électrostatique seul peut causer des variations dans le taux de flux du temps, faire varier les caractéristiques physiques de celui-ci ; voir Bloch et Crater” potentiel invariant lorentzien et la limite non relativiste”
    Laquelle attends. Einstein avait raison après tout : Dieu ne joue pas aux dés avec l’univers quand on considère tous les niveaux. On se trouve soi-même dans une situation statistique à un niveau seulement quand ses sous niveaux constituants sont incontrôlés.

Diapositive 17. L’existence dans et le passage à travers le temps.

Sur cette diapositive, on montre simplement que le mouvement d’un corps à travers l’espace et son passage à travers le temps sont reliés, selon la relativité. Maintenant ” la masse” est spatiale. Il n’existe pas dans le temps. Seulement les “choses” qui contiennent l’unité de temps peuvent” exister dans le temps”. Autrement la “chose » (-corps) existe seulement comme tel quand le passage du temps a été momentanément arrêté — habituellement par une émission de photons, la conséquence est l’enlèvement de l’unité de temps par le photon.
Puisque chaque masse qui a de la température — et chaque masse (en) fait– continuellement absorbe et émets des photons, ainsi la masse saisit continuellement une petite fraction de temps (absorption) et le perds (émission) rapidement ensuite. Masse temps est ce qui existe dans le temps pas la masse.
Et chaque particule masse, continuellement se transforme de masse à temps masse , puis celui-ci se transforme de temps masse en masse, etc. Donc, c’est la somme d’absorption et d’émission de sous quanta virtuels par une particule masse c’est à dire sa charge qui détermine son taux de flux à travers le temps. Et le spin sphérique d’une particule masse couple la particule de masse au vide de l’espace-temps : c’est le flux de particules virtuelles. Le passage à travers le temps ordinairement, est commandé par la création et l’annihilation de quantas, ces processus sont commandés des actions et interactions de sous structure (subquantique).

Diapositive 18. Quelques implications.

Sans forcer la conclusion, maintenant je montre simplement quelques implications de la nouvelle approche.
1) on modifie deux lois la conservation de la charge et la conservation de l’énergie en les combinant dans une loi, une nouvelle loi de conservation dans laquelle “l’énergie” est conservée. Ni la charge ni l’énergie n’ont besoin d’être conservées ; mais l’équivalence générale de l’énergie.

(Charge sans masse) est ce qui est conservé ; ceci nous permet de dériver les mécanismes pour l’énergie libre du vide par exemple ; ces mécanismes violent volontiers la loi de conservation de l’énergie, actuelle, mais ne viole pas la loi de l’énergie (conservation) générale.
C’est l’équivalence de l’énergie totale de masse, énergie, et de charge sans masse qui doit être maintenant conservé en général ; les lois anciennes sont maintenant justes des cas spéciaux. Aussi, la 3 ème loi de Newton pour toute action il y a une réaction égale et opposée est modifiée. Cela s’applique encore, mais dans une forme changée. La réaction arrive encore mais elle n’a pas besoin d’être locale, ni d’être antiparallèle à l’action d’origine. Alors il est possible de concevoir et de construire un espace inertiel” totalement sans réaction” qui fait mouvoir un véhicule.
L’implication finale est que le mécanisme commun produisant la force toute force fournit une théorie du champ unifié. Spécifiquement, il fournit un qui se prête facilement lui-même à une application mécanique directe. Ce n’est ni ésotérique ni mystérieux. C’est pratique et physique, on peut faire des modifications à nos réseaux et circuits électriques actuels.

Diapositive 19. Conservation de l’énergie (AE) : une loi de la conservation de l’énergie se développant.

On montre brièvement une branche dérivée de la nouvelle loi de la conservation de l’énergie. On exprime la conservation de la charge en corrigeant le terme “charge” pour montrer sa vraie signification : masse chargée. On utilise le symbole de valeur absolue pour signifier l’équivalence de l’énergie. Des champs dans l’espace et le vide lui-même, inventant l’idée” d’effets de charge” existant même dans le vide sans masse, avec des champs dans l’espace, concomitants (= accompagnement). Pendant ce temps, ils avaient confondu (profondément) points (imbibés de masse) sans charge, masse sans charges, et vecteurs de longueur (imbibés) et de temps] imbibés). Avec un appareillage conçu pour détecter les mouvements de l’œther (expérience fondamentale) matériel, les résultats de celle-ci furent nuls. MICHELSON et MORLEY, furent considérés comme s’étant débarrassés complètement de l’œther, Les expériences, ne se débarrassaient que de l’œther matériel, et non-pas celui invariant de LORENTZ. Les équations de MAXWELL et le concept du champ furent élaborés à une importance absolue. Alors, après le travail fondamental de la relativité d’EINSTEIN, juste après le début du siècle, le concept de l’œther s’évanouit, et le concept de champ régna en maître. Cependant, dans leur enthousiasme, les interprètes de la relativité allèrent loin : comme affirmer qu’on peut avoir une onde sans aucun milieu qui la supporte (vibration E.M). Par conséquent, quelque chose peut être en mouvement sans rien là qui le fasse bouger ! Avec allé­gresse, ils prononcèrent la fin” finale” de l’idée que I’œther était un milieu (support), même en pensant qu’Einstein, lui-même ne fit jamais une telle chose. Avec l’arrivée de la relativité générale même la matière vint à être regardée comme juste une coquille, ou la courbature de l’espace-temps : le rien du vide. La mécanique quantique se développa et même la certitude et la détermination tombèrent (fin du déterminisme). Chaos, probabilités et hasard, maintenant assument la position réglementaire : des ondes de probabilité et champs de probabilité, jaillirent comme le firent, les champs quantifiés de façon variées. Le mélange de ces concepts, avec ceux de l’électrodynamique poussa l’idée champ E.D beaucoup plus loin vers les domaines ésotériques. Le point est incorporé et construit sur les disciplines d’avant-garde : venant du début de la géomé­trie, il n’y avait pas de définition rigoureuse d’un vecteur, et il n’y en a pas une aujourd’hui. Au début de la mécanique, dans leurs fondations, les théoriciens firent de graves erreurs logiques, en incorporant le vecteur du géomètre. Erreur si grande qu’aujourd’hui, la mécanique et lŒ.M sont gravement en défaut (imperfection) comme est tout ce qui est venu après eux, sur laquelle est construit leurs fonde­mments illogiques.

Points et mouvements

C’est mon but dans cet article que d’exposer, d’une façon très simple la plupart des erreurs de base qui furent faites. Une erreur de base impliquant l’idée de mouvement lui-même. Dans les concepts, mêlés, de mouvement les géomètres utilisaient un “point en mouvement” pour déterminer ou spécifier par exemple, la vitesse. Maintenant un “point” est une conception statique à priori. Pour déterminer, percevoir, le mouvement on doit établir que cela occupe deux points différents (positions) à deux moments différents (Tl-T2), ou encore considérer les deux points à la fois en même temps. Cependant c’est précisément ce que la flèche indique : elle est représentée pour montrer un vecteur. Un point “en mouvement”, donc, représente une contradiction d’opposition (à contre-pied). Ceci étant, il représente l’idée que ” ce qui est en mouvement, possède un mouvement “. Même avec cela, il y a une différence dans un point spatial et un point spatio-temporel (espace-temps). Pour exister, tout à fait, un point spatial doit être doit être en mouvement dans le temps ; en d’autres mots, c’est une ligne spatio-temporelle, même si c’est un point spatial statique. L’analyse vectorielle fut construite dans l’abstrait– une fois de plus– un point sans masse en mouvement, a possédé ou a constitué, un vecteur-vitesse, etc …. Dans l’espace/ sans masse,sans temps/ les champs ont été définis : champs scalaires ; il furent constitués par la désignation d’un nombre simple — grandeur, vitesse– à chaque point spatial. Mais le système vectoriel mathématique a consisté en un rapport de point, sans masse, en mouvement, reconnaissant celui-ci (=0), comme un cas parti­culier de mouvement. Bien sûr, le développement des mathématiques fut (entrelacés), toujours avec des problèmes pratiques. Avec l’application soutenue des mathématiques pour généraliser des problèmes physiques matériels, la mécanique lentement s’éleva. Ces développements demandèrent des décades et même des siècles pour se solutionner com­plètement. Tout au long du chemin — innovations et modifications, additions– au formalisme mathématique ont été dérivées et apprises aux étudiants comme système” naturel” de la réalité : un dogme permanent avait été forgé. Cependant, les mathématiques furent regardées comme l’expression humaines seule d’une vérité fondamentale. Jusqu’au travail de GÖDEL dans le 20ème siècle. Mais le système vectoriel mathématique a consisté en un rapport de points (sans masse) en mouve­ment, reconnaissant le mouvement O comme un cas particulier de mouvement (15). Bien sûr, le développement des mathématiques fut entrelacé aussi toujours, avec des problèmes pratiques ; avec l’application soutenue des mathématiques pour généraliser les problèmes physiques matériels la mécanique, lentement s’éleva. Ces développements demandèrent des décades et même des siècles pour arriver à solutionner complètement ; tout au long du chemin innovations et modifications et additions au formalisme mathématique ont été dérivées et apprises aux étudiants comme système naturel de la réalité ; un dogme permanent avait été forgé. Cependant les mathématiques furent regardées comme l’expression humaine seule d’une vérité fondamentale ; jusqu’au travail de Gödel dans le 20ième siècle , ne devint il pas évident que les mathématiques sont simplement un jeu , joué selon des règles consacrées ; il n’y a pas de vérité ultime dans les mathématiques seules (16) ; c’est un jeu , la plupart du temps utile bien sûr puisqu’il est le jeu adapté pour la perception ; donc il s’applique essentiellement à tout ce qui peut être perçu ; mais à être appliqué aux systèmes physiques , il doit être changé, modifié , mis au point et adapté comme les instru­ments de perception, détection qui deviennent toujours plus sensibles.

4 Types de vecteurs, actuellement apparaissent

Tandis que les sciences physiques se sont développées lentement et ont incorporées des mathématiques et géométrie abstraites , dans 4 types (majoritaires) de vecteurs et 2 états majoritaires d’observation qui se sont développés , bien que ce fait ne devint pas apparent aux scientifiques ; particulièrement les mathématiciens et physiciens faillirent à reconnaître les différences dans les 4 types de vecteurs les entremêlant et les confondant comme une simple classe de vecteurs ; en plus, ils n’apprécièrent pas qu’un vecteur fondamental , conceptuellement est un système unitaire et que le système représenté par ces 4 types de vecteurs, utilise et est composé de composantes différentes ” soudés ensemble sans joints au milieu” ; par conception ( et venant d’un point de vue du système ) , les 4 types de vecteurs sont :
  1. Le système de vecteurs spatial, sans masse sans charge, vecteur géométrique
  2. Le système de vecteurs de masse non chargé : vecteur mécanique.
  3. Le système de vecteurs de masse chargée : vecteur électrique.
  4. Le système de vecteurs d’espace chargé (vecteur électrique avancé)
Ces 4 vecteurs, fondamentalement différents sont montrés dans les fig. 1, 2 ,3 ,4 et 9 d’une manière simplifiée. Le problème majeur était que commençant avec le vecteur géométrique, ces 4 vecteurs principaux n’étaient pas traités comme système ; au lieu de ça, leur aspect vectoriel étaient inutilement confondus et s’entrelaçant. Aucune distinction n’étaient faites entre eux ; dans les fondements des constructions mathématiques, la séparation du temps n’était pas reconnue du tout.

La mécanique quantique mélange le problème

En plus les 2 états d’observations reconnus actuellement observable et non observable (virtuel) ­étaient, bien sûr inconnus aux géomètres et électriciens précédents et ces idées n’étaient pas incorporés directement dans les fondations de la théorie.
Venant de la physique des particules et de la mécanique quantique, on comprend maintenant que la réalité physique est structurée d’un état Observable, mises sous un nombre infini de niveaux successifs chaque fois plus fin, d’états virtuels (non observables). Au moins, la réalité est modélisée le plus fidèle dans cette façon, selon la physique des particules, aujourd’hui. C’est aussi bien connu, par ex qu’au niveau le plus fondamental, on ne peux séparer actuellement. Le non mouvement du mouvement (lequel implique par ex qu’on ne séparer masse de vitesse). En d’autre mots , ” une masse en mouvement ” idée est actuellement incorrecte , au niveau le plus basique . Ce qui existe actuellement est une sorte de masse “grossie” ; ceci est” masse mouvement” est fondamentalement ce qui existe, pas une masse en mouvement.

Les principes de physique électrique ont un esprit dogmatique.

En examinant les fondations de géométrie, mécanique et E.M., il devient soudainement clair que des théoriques substantielles même graves furent faites de bonne heure et perpétuées dans la théorie exis­tante. Ces erreurs sont maintenant si fermement qu’elles forment une partie du dogme de presque tous les physiciens, ingénieurs et scientifiques. Aussi ces erreurs, sont-elles imprégnées et contradictoires que les théoriciens et scientifiques trouvent qu’il est presque impossible de se passer d’elles. Le dogme actuel est analogue au dogme de Newton qui a résisté si fièrement aux nouvelles idées de la relativité, peu après le début du siècle. Par conséquent après quoi, quelques scientifiques formulèrent les règles et la théorie du jeu mathématique de la relativité, une nouvelle génération d’étudiants, pas encore aussi fermement enfoncés dans le dogme newtonien, cherchèrent à saisir la nouvelle relativité quand leurs professeurs l’exposèrent. Dans cette courte série d’articles (1, 2), j’indiquerais approximativement où les fondateurs de la mécani­que et E.M. se trompèrent et indiquerais la voie pour corriger les erreurs fondamentales ; en plus je montre­rais brièvement quelques unes conséquences et parlerais de quelques preuves expérimentales directes.

Cela est parti avec la géométrie et s’agrandit.

Au véritable début de ce qu’on appelle la période scientifique les mathématiques étaient à la fois, roi et reine, et la géométrie d’Euclide était sa servante. Aussi on se dit ” Qu’est précisément la géométrie ? ” Ici, nous ne sommes pas intéressés par une réponse style — livre de classe — mais par une réponse indiquant ce que fait vraiment la géométrie (3). En d’autres mots, avec quoi la géométrie est-elle concer­née elle-même et qu’est la nature fondamentale de ces choses avec lesquelles elle est concernée elle-même. Brièvement la géométrie — comme ses fondations — est totalement spatiale ; elle est établie et exprimée en termes d’absence totale de masse ; alors la géométrie donne dans l’abstrait, entités sans masse appelés “points”, “lignes”, “plans”, etc. Quand le géomètre parle de “mouvement”, il parle d’un temps mis de côté, de points séparés par une longueur ; la géométrie, dans son principe est sans masse et un vecteur de géométrie est un type hautement spécifique du “système” ; en fait, il représente le temps (séparé) et la longueur (séparée) d’un point ; à priori, le concept fondamental du vecteur géométrique a pris une entité spatiale et introduit une implication cachée avec le “temps”.
« Dans le domaine des sciences : Tesla, qui prédit la radio, maintenant s’attend à envoyer des ondes sur la lune »,
N.Y.
Herald Tribune, 22 Août 1937……………………………………………………………………….138
« Défense aérienne :’le faisceau de la mort’ offert aux U.S. par Tesla »,

BALTIMORE Sun, 12Juillet 1940…………………………………………………………………………….140
« Rayons de la mort pour avions », N. Y. Times, 22 Septembre 1940…………..142
« Proposant le rayon de la mort pour la défense », Philadelphia
lnquirer 20 Octobre 1940………………………………………………………………………………………143                           
Swezey, Kenneth M, “N. Tesla” N.Y. Times, 16 Mai 1958………………………………..145
« Energie sans câble », Electronics (Digest), 22 Juillet 1960…………………………….148
« Boules de feu pour la défense ? », Christian Science Monitor,
7 Février 1962………………………………………………………………………………………………………….149
Lagus, Georges W. «  L’utilisation du sol dans les circuits H.F. » Radio-lV and Science and
Electronics, Juin-Juillet 1969…………………………………………………………………………………152
Jamison, S.L., « Energie de la vie », Probe, The Unknown, Juin 1973…………….153
Jueneman, Fréderic B.,” la première loi de la thermodynamique”, lndustrial Research
Février 1974…………………………………………………………………………………………………………….153
Wade, Nicholas, ” Discussions sur les éruptions chargées(électriquement) au-dessus de la Russie par les armes à faisceaux (dirigés) “
Science, 27 Mai 1977. ……………………………………………………………………………………………154
Benford, Grégory,” Zeus en orbite”, Omni, Septembre 1981. ……………………… 154

JAMES HARRIS ROGERS’ PATENTS
(dans le but de donner la date d’application des brevets)

958,829, Méthode et appareillage pour produire des courants oscillants H.F. James H. Rogers . Enregistré le 20 Janvier 191 ………………………156
1,220,005, Système de signalement sans fil . James Harris Rogers et Henry H. Lyon . Enregistré le 10 Novembre 1916…………………………………..160
1,322,622, Système de signalement sans fil , James H. Rogers et H. H.Lyon , enregistré le 10 Novembre 1916………………………………………………….163
1,349,103, Système de radiosignalisation . James H. Rogers fnregistré le 2 Mai 1917………………………………………………………………………………………………169
1,315,862. Système de radiosignalisation . James H. Rogers, ijnregistré le 17 Janvier 1918…………………………………………………………………………………….172
1,349, 104, Système de radiosignalisation . James H. Rogers. Snregistré le 17 Janvier 1918……………………………………………………………………………………175
1,303,729. Système de signalisation sans fil. James H. Rogers. ~nregistré le 10 Janvier 1919…………………………………………………………………………………178