La famille Fradin devant la porte du premier musée, quelques années après la découverte. De gauche à droite : le chien Patou, le grand-père Claude Fradin, la grand-mère Amélie, les sœurs Marcelle et Yvonne, Emile, sa mère Françoise, et son père Antoine (photo Roger Viollet).

Le Maître mot, dans tous ou presque, qui se rapporte à Glozel est INCOMPETENCE…

  • Incompétence des historiens et complicité des journalistes qui pour contrecarrer Glozel, ressassent les mêmes antiennes éculées, sans prendre en compte les nouvelles donnes, notamment en ce qui concerne les datations, qui confirment l’ancienneté du site de Glozel…
  • Incompétence et parti pris de certains auteurs de blogs qui, sans esprit de synthèse, répètent comme des béni-oui-oui, les mêmes idées reçues sans même faire l’effort de les vérifier
  • Incompétence de quelques traducteurs, qui se posent en école, et qui bien que sachant pertinemment le peu de valeur de leurs pseudo-traductions (via l’hébreu, le latin, du pseudo gaulois etc.), persévèrent dans leur erreur et contribuent à faire de Glozel un cirque médiatique, sans penser que cela même les dessert et cause de graves tors à ce qu’ils prétendent défendre
  • Incompétence des gérants du Musée de Glozel, qui bien qu’au courant de mes traductions bien plus complètes en l’occurrence que les autres, par Anne-Marie Juaneda-Calviez depuis 1996 (et pour cause, les autres pseudos « traducteurs » se trouvent dans une impasse linguistique, ne pouvant finaliser leurs prétendues « traductions » et ne présente que des extraits bancales et de rares textes traduits incomplètement), continuent à ignorer superbement mes messages en ne parlant que des piètres éditions des mauvais traducteurs, éblouis comme par un miroir aux alouettes, par le titre de « Professeur » et le « luxe » des couvertures, et pérennisant par leur inaction, le mythe de l’invention de Glozel par les Fradin, en jouant le jeux des sceptiques et autres zététiciens (plus incrédules par nature, que par compétence)…