La problématique glozélienne

La problématique glozélienne repose sur sa reconnaissance ou non en préhistoire ou protohistoire. Pour faire un parallèle, partons d’un postulat hypothétique : Celui de la non-reconnaissance de Lascaux et d’Altamira.

Si ces sites n’avaient pas été reconnus, toute une phraséologie aurait été construite autour de ce thème, afin de les discréditer. Des démonstrations aussi spécieuses que peuvent l’être des hypothèses, auraient été avancées afin de démontrer leurs non “pré-historicité”, et un credo unitaire de terminologie se serait bâti autour, afin de prouver l’impossibilité de ses créations par les hommes des cavernes. Science fiction me diriez-vous, en vous gaussant à l’énoncé même de cette idée. Et pourtant, c’est bien ce qui faillit arriver.

Don Marcellino de Sautuola, grand d’Espagne et seigneur du district d’Altamira, lutta pour la reconnaissance de ce site, découvert par sa petite fille en 1879, et à Lisbonne le congrès mondial de préhistoire qui eut lieu en 1880, condamna le lieu sans appel. Les plus grands savants de l’époque, qui du Portugal, à l’Angleterre, Italie et Suède, comme les professeurs Montelius et Undset (chef de file des spécialistes de la préhistoire), ou Allemand comme le docteur Virchow (fondateur de la pathologie cellulaire) à Berlin, sont unanimes pour déclarer que c’est un faux grossier et une supercherie. Il n’y a pire « aveugle » que celui qui ne veut pas voir, et pire « Savant rétrograde » que celui ne sachant chercher, ou ne voulant pas savoir.

Les premiers préhistoriens et intellectuels de l’époque bardés de diplômes, qui récrièrent la trouvaille d’Altamira, n’avaient même pas eu la démarche intellectuelle d’aller constater de visu in situ, tout en affirmant péremptoirement que des gamins avaient tracé tant bien que mal ces dessins. Avant qu’on ne découvre en 1903 les peintures pariétales de Font-de-Gaume(Dordogne), puis d’El Castillo et de La Pasiega qui prouvaient le contraire.

Et de nos jours des “savants” lénifiants tout autant bardés de diplômes, s’extasient au sujet de l’art et de la justesse du trait de ces “hommes” préhistoriques, qui ont inventé le dessin…

Culte et rite shamannique glozélien

(1° religion matriarcale, 2° message cultuel & culturel)
1°)   La gravure de Glozel, est un art consommé tout emprunt de féminisme. Celui de la femme parturiente, divinisée en Déesse Mère.
Les premières divinités étaient féminines (Dana, Weird, Gé/Gaïa etc…, voir une liste plus exhaustive Planche XXIX – 2).

Les peuples Arias/Pictes/Sîd (sous-entendu pour Ligures), sont à l’origine du monothéisme. Ils ont pour culte celui de la Déesse Mère souvent représentée sous forme d’une Vénus callipyge. Elle est créatrice de l’écriture, une Déesse évhémérisation de la Déesse Mère, qui plus tard sera associée à un Dieu (frère/ fils/amant), dans la nouvelle religion polythéiste et phallocratique, en référence au couple divin originel :

  • Nidaba est la Déesse sumérienne de l’écriture ;
  • Sechat en Egypte, Neter : “Déesse” des Tches : “hiéroglyphes” (à noter que le chinois Tche veut dire : “gouverner/tailler le bois/savoir/connaissance”), dite “la Dame de la bibliothèque”, est la parèdre de Thot inventeur de l’écriture, Neter : “Dieu” des scribes (mais Horus l’ancien l’aurait devancé). Elle sait dessiner, peindre et planter les piquets pour la fondation d’un temple.
  • Sarasvati, en Inde, Deiva : “Déesse” qui inventa l’alphabet ;
  • Carya dit Carmenta : Divinité pré-hellenique de Carie – les Caras/Cariens (transposition de Aria) furent les ancêtres des Grecs -, est devenue Artemis chez les Grecs. Elle est à l’origine de l’alphabet dit “latin”, par retranscription du grec monumental. La prononci-ation des lettres quant à elle, est racenna/étrusque ;
  • Freja : est l’Asinja (Asine/Déesse) skandinave, qui enseigna les SĒðkona : “rituels magiques des runes” à Óðinn : Ass (Ase/Dieu) Suprême Nordique, qui se pendit à l’arbre Ųggdrasill pour acquérir les Runes ;
  • Keridwenn : Déesse irlandaise de la connaissance et de l’intelligence, parèdre féminine d’Ogmios : Dieu Suprême Irlandais appelé aussi Dagda : “Dieu bon/ capable”, inventeur de l’alphabet keltisk dit Oghamique (terme identique au biblique Og de Basan : capitale des Assurites/AsiŔ, Nombres XXI : 33), lexis de Ogre et Homme en français (langue faussement attribuée au “latin”, alors qu’elle est kelto-nordisk, c.-à-d. pan-gauloise, mêlée de germanique & de nordique) ;
  • Reitia en 500 avant notre ère, est la Déesse Vénète de l’écriture. Son nom est identique à :
  • Druntia : Déesse gauloise du sapin, Mère du calendrier des arbres.

 2°)   Message cultuel & culturel :

  •  Les rennes avec des faons (Planche XXXIX – 2).
  • Le shamann avec une pseudo-poitrine (la poitrine est la signature féminine de l’artiste et/ou de la position prédominante cultuelle du matriarcat).
  • La naissance (Planche de Lorthet, Planche II – 4), l’ours (anneau pour la naissance, Planche XXXVI – 2 et 3).
  • La poésie est une sensibilité toute féminine, comme : les 1ier dessins et le chant (Planche XLII – 6), ainsi que les remarques qui sont toutes féminines comme : Dieu est réflexion (Planche XV – 2), Dieu pleure aussi (Planche XXII – 1), le jeu de l’eau sur la pierre (Planche XLII – 4), & sur une aiguille d’os où est gravé Grata : “pleurer/gémir” (Planche XVI – 5).

Grata : mot skandinave, à l’origine du français regret, par l’intermédiaire du normand. Le sens est un hĒti : “surnom” (genre de kenning), résultante de Nafra : “percer”, pour le son que fait le fil/tendon en passant par le trou du cuir.

  • Le sens culinaire (comme le goût du lièvre, Planche XXXVIII – 3).
  • La mort (Planche XLIII – 5), toujours considérée comme un culte féminin antithétique da la vie, pour son nom La camarde (Planche XVIII – 3), et le deuil  (Planche XV – 3), plus souvent porté par les femmes.
  • La magie par la gauche, qui est féminine par essence (l’ennéade sacrée, Planche de Montignac-Lascaux, les Fées, les Dryades, les Parques/Moires, Nornes), l’invocation (Planche XLIV), & la force extatique (Planches LXI & LX inf. droite).

L’écriture aussi est féminine. Les premiers scribes étaient des femmes, & la fonction portait un nom féminin en sumérien. Dans presque toutes les mythologies, l’écriture est inventée ou véhiculée par une femme.

La fonction religieuse était aussi féminine. D’ailleurs Religion et Voyance sont féminins (la Pythie, les Vestales). Prophétesse à précédé le titre de Prophète (qui en est la masculinisation). Le titre fut masculinisé par révolution et réaction phallocratique. Même le phallus ne put être totémisé tout à fait en érection, dans le culte de Glozel, puisqu’il n’est pas dissocié du vagin avec les idoles bisexuées (voir Planche XLVII – 1).

Transferts de forces (formes/fonctions) dans le rite initiatique shamann

  • De la plante via l’animal à l’homme, Planche XXXVI – 1.
  • Le Faon = champignon hallucinogène, Planche XXXIX – 2.
  • L’Ergot de seigle (rejeton du son), Planche XLIV.
  • L’aune, Planche XLIV.
  • Le Soleil, Planche XLVII – 1.
  • La Lune, Planche XXXIX – 3, & Le Shamann.
  • Vénus, Planche IX – 7, & Figure : 7.

La mythologie, la cosmogonie glozélienne et les Dieux anciens

Le shamann a des plumes dans les cheveux pour signifier qu’il a la faculté de voler, et un collier avec des emblèmes mammaires pour représenter la Déesse Mère et la voie lactée.

Les glozéliens connaissaient aussi les astres à phases : Le Soleil, la Lune (Planche : “Le Shamann”) et Vénus (Figure : 7, et Planche IX – 7), ainsi que les constellations : les Pléiades (Planche “Montignac-Lascaux”), la Grande Ourse et la petite Ourse (Planche XVI, Planche XLIII – 4 et Planche XXXVI – 1), le Renne et le cavalier, ainsi que la voie lactée.

  • Uatach/la Déesse Mère négative (Planche XXXVI – 1, et Planche XXII – 1).
  • Regin (un des HĒtiŔ d’Óðinn, Planche LXIII – 3).
  • Deling (un des HĒtiŔ de Balder, Planche XXXVI – 3).
  • Dieu (Planche XVI – 2).
  • Turan/Vénus (Planche IX – 7).
  • La tri-unité divine (Planche XIV – 3).
  • Druntia (Planche XLIII – 3).
  • Les Dieux (Planche XXXVIII – 2).
  • Nuadu/Woden (Planche XLIII – 1).
  • Sinia/Nanna Angurboda (Planche “Le Shamann”).
  • Lug (Planche XLIII – 5).
  • Ingona/Eithne Inguba et Dieu (Planche XLI – 5).
  • Hargrisi/Óðinn (Planche XVIII – 3).
  • Derd/Vora (Planche XV – 3).
  • Ing/InguŔ/Frej (Planche XXV – 3, Planche XLV).
  • Nehalennia/la Déesse Mère positive (Planche XXIX – 2, Planche LV & XLVIII – 1, & Planche “Montignac-Lascaux”).
  • Ingvi/les VaniŔ (Planche II – 4).
  • Finn/Œngus (Planche XVI).
  • Elenne (Planche XLV).

Note :
Le champ Duranthon, des Durantons et/ou Duranton, littéralement : “gué de la forêt” et/ou “fort des braves”, tire son appellation cultuelle des mots keltiskr Dur : “chêne/forêt”, Ath : “gué”, & Ona : “relatif à”.

La Déesse Dana faisait franchir le gué aux morts sur son cheval.

Et/ou par une autre traduction de Dur : “brave”, teangorlach Dùr : “dur”, Ona : “relatif à”, & Tun : “fort”, de Dunon : “forteresse” lexème des français Dune et Dunette. L’appellatif “moderne” en “champs des morts”, n’est pas adapté à ce concept religieux.

Néanmoins, des tombes furent découvertes & fouillées, des tablettes trouvées, offertes aux défunts en dépôt. Certaines sont des doubles d’un même texte :

Celles représentées Planches XLVIII tablette I & LV inférieure (voir traduction p. 133), Planche L inférieure & LVII inférieure, Planche LIII supérieure & LXII inférieure, Planche LX inférieure droite & LXI inférieure (voir traduction p. 141), plus les anneaux de schistes 3 p. 49 & 4 p. 51, ainsi que 4 p. 50 & 1 p. 51, dans Glozel Corpus des Inscriptions, du Docteur Antonin Morlet.

Ce ne sont sans doute pas les tablettes originales, mais des copies + ou – bien soignées. Et la comparaison des 2 rédactions d’un même texte, permet d’éviter les erreurs possibles. On peut aussi en déduire, d’après les gravures, qu’il y eut des rédacteurs différents.

L’animal psychopompe et sa représentation cultuelle :

(1° dans le dessin, 2° dans l’écrit, représentatif de la symbolique religieuse)

Loup = lumière/illumination (Planche XLIII – 5 et Planche “Le Shamann” en relation avec la mort, et Planche XLIII – 4 avec le chiffre 7).
Deux loups symbolisant sa soif de savoir escortent Óðinn, l’Ass Suprême skandinave, Freki : “vorace” et Geri : “glouton”.

Il y a aussi Hati : “le pressé” loup poursuivant le lune ; et Skol : “bouclier” appelé aussi Fenrir : “éclipse”, fils de Loki : Þurs/Jötunn/génie/géant malfaisant de la mythologie nordique, qui, en tant que Garm, est le chien/gardien des enfers.

En composition négative, une kenning (périphrastique) parlant du loup désignera le mensonge, et a un rapport analogique certain avec Loki : “branlant/remuant”, le Þurs skandinave.

Le sanctissime 7 a une valeur magique. Cuchulinn notamment, avait 7 doigts par main, 7 orteils par pied. Il s’appelait alors Setanta : “cheminant” de Set : “chemin”, et devint héros d’Ulster à 7 ans. Vegtam : “familier des chemins/cheminant” est un des surnoms d’Óðinn (dans ce sens il symbolise le champignon shamannique).

  • Lièvre/Taureau = Ase/Dieu/Déesse (Planche XXXVIII – 3, chantre du jeune Dieu, et Planche XLIII – 3, Druntia Déesse gauloise du sapin).
  • Cheval = (Planche LXI, Planche LXIII – 3, prière à Regin/Óðinn).
  • Lion = la force/la royauté (Planche XXXVIII – 1).
  • Saumon = le savoir/la sagesse (Planche II – 4).
  • Chien = la lumière domestiquée/la fonction religieuse (Planche XXXVIII – 3).
  • Cerf = (Planche XLI – 1, qui représente le Dieu gaulois Kernunos, Lug kelt et/ou Ingvifrej skandinave. Dieux aux bois ayant rapport avec la mort. Voir Planche XLIII – 5, en relation avec le Loup).
  • Faon = champignon hallucinogène (Planche XXXIX – 2), dont le dessin & le texte peuvent être une extrapo-lation, du culte shamannique sur les hallucinogènes ; l’aspect du daim ou du faon tacheté, imageant parfaitement l’amanite phalloïde et/ou panthère.
  • Renne = rune/course (Planche XXXVI – 1, et Planche XXXIX – 2). “Renne”, comme la rune /R/rad : “voyage” indique au deuxième degré, une chevauchée sexuelle et/ou médiumnique, liée à l’absorption de la plante sacrée, & l’ergot de seigle (Planche XLIV).
  • Renard = l’ésotérisme/l’exotérisme (Planche XXXVI – 1).
  • Blaireau/Ours = serment/enfantement/Bearu (la forêt sacrée germanique)/Douna (forêt sacrée et impénétrable keltisk), (Planche XLVII – 1 & Planche XLIV).
  • Le chant des oiseaux = mancie aviaire (Planche XLV).
  • Vipère/serpent/lézard = symbole totémique de la Grande Déesse Mère (Planche XLIII – 2).

La mythologie keltiskr nous a transmis le nom de la Mwivre/Wouivre/Guivre : serpent blanc mythique, symboli-sant les courants et ondes telluriques (rayons Hartmann et Curry), dit Pryf en kymris.

JörmunganðŔ : serpent géant, de Jörmun : “énergie/ondes/ rayons terrestres” et GanðŔ : “pieu/poteau à usage magique”, habite Midgaard : “enclos du mitan”, notre monde selon la mythologie skandinave. Avant de changer son nom pour Dreki : “dragon” en dönsk tunga, Drake en tusk, le “Dragon” mythique, “Grand Ver” antique qui fut l’objet d’un culte chez les peuples brittoniques, s’appelait Würm – terme qui donna son nom à une des 4 ères dites faussement “glaciations” du quaternaire alpin, en fait résultante de déluges et d’un basculement du pôle à 90°.

Le sanskrit Drakkarna : “celui dont l’œil ouïe”, est aussi un lexème de Dragon.

Chez les Egyptiens, le serpent Zet/Seth/Kneph en kemt, Ouadjyt : “la verte” Déesse du delta a pour animal attribut le naja, qui se manifeste sous la forme de l’Uræus : naja de la couronne des pharaons.

Le serpent Apophis symbolise le Noun : “l’achaos” (l’avant création des anciens Grecs).

Et selon les mythologies de Hermopolis et de Thèbes, l’œuf primordial fut pondu par un oiseau/reptile mythique(comme le Quetzacoatl aztèque) Irto : “celui faisant la terre” et/ou Kenatef : “celui accomplissant son temps”, appelé aussi “Le Grand Jargonneur”, sur une île surgie du Noun et créée par l’esprit de l’Ogdoade (représentation des 8 éléments de l’univers, préexistant dans l’achaos), qui sont 4 principes féminins à têtes de serpents, Nounet/Nouout, Tenenout/ Niaout, Hehet, Kekout, couplés à 4 principes masculins à chefs de crapauds, Noun/Nouou : “chaos liquide”, Tenenou/Niaou : “vide mouvant”, Hehou : “ténèbres”, Kekou : “obscurité”.

Le Saraf/Cerac : serpent/vipère cornue, épouse du Mehustan biblique masculinisé (devenue le serpent d’Eden), l’Hydre de Lerne en Argolide (Grèce) qui représente l’antique religion qui ne veut pas mourir, le Typhon/Python et l’Ouroboros grec, le Cesha naja indien, le dragon Illuyankas hittite, Quetzalcoatl aztèque/mixtèque, Kuk(-Kul) Can maya/toltèque, sans parler des dragons du Moyen-Âge comme la Gargull : “gargouille” normande etc.
Dans l’ancienne religion précédant le Shamannisme et le Druidisme, celle de la Grande Déesse Mère, les symboles de celle-ci étaient un bovidé et/ou un reptile, représentation vivante de la sagesse prophétique. Sa langue à l’image de la rune  /K/Kaun est la stav du feu et de la lumière divine.

Un Roi consort, époux annuel de la Grande Prêtresse/ Reine symbolisant la Grande Déesse, était démis à la fin de son cycle et démembré symboliquement ; ses morceaux ou ceux de l’animal substitut, étant rituellement éparpillés dans un champ témoin, pour en favoriser la fertilité et les récoltes.

La vipère, le serpent de même que le lézard, sont des symboles féminins, ainsi que les emblèmes de la lumière divine et protectrice (tous deux se dorent au soleil), comme la vipère en bas-relief de Lorthet, et celles sur os de Lespugue. Dans un chapitre à peine différent, la salamandre appelée aussi triton, selon la légende vit dans le feu et donc protège de celui-ci.

 Le chiffre & le nombre :

Qu’il soit écrit ou symbolisé, il est d’origine pré-indo-germanique. Les Arias/Pictes/Sîd (sous-entendu pour Ligures), sont les véritables inventeurs de l’écriture & du chiffrement (puisqu’à l’origine la lettre était aussi un chiffre et/ou nombre), liée à la religion, au commerce et à la mise en place de l’infrastructure administrative du mésolithique.

Le latin, emprunta son système numéraire à l’étrusque : , signe divin qui se décompose ainsi, chaque bâton séparé se décompte de I à IIII ( /I, /II, /III, /IIII), unis en ½ croix c’est /V/5, en croix È/X/10, le ¼ de cercle /L/50, le ½ cercle /C/100, la moitié du signe /D/500, le cercle entier qu’on ouvrit en 2 ½ cercle / /M/1000.

Qu’il soit écrit ou symbolisé, il est d’origine pré-indo-germanique. Les Arias/Pictes/Sîd (termes sous-entendu pour Ligures), sont les véritables inventeurs de l’écriture & du chiffrement (puisqu’à l’origine la lettre était aussi un chiffre et/ou nombre), liée à la religion, au commerce et à la mise en place de l’infrastructure administrative du mésolithique.

On retrouve notamment des chiffres : Planche XLIII – 3, et des décomptes : Planche XIV – 3, Planche XLIII – 4 & Planche XLIII – 5.
C’est le décompte par souffles, syllabes, stances, assonances et/ou rimes graphiques, qui est à l’origine de l’élaboration de : La poésie glozélienne…