les-runes-cote-gauche-du-coffret-dauzon

Côté gauche ; y est gravée l’histoire des 3 Nornes (que d’aucuns ont pris faussement pour les Mages, alors qu’elles sont vêtues comme les 3 personnages du bas-relief de Housesteads, Northumberland), jaugeant l’âme d’un défunt (représenté dans un tertre, que des chercheurs, influencés à tort par leur culture judéo-chrétienne ont [mé]pris pour le Christ dans un berceau).
Texte en runes (sans rapport avec la gravure) :
Her hoss sitæþ on hærmbergæ agla drigiþ swæ. Hirsi ert ægis graf sær dun sorgæ and sef tornæ.
Dans la gravure :
Risci. Bita. Wudu.
Translation :
L’armée balance sise avant de goûter aux pleurs, manque de solides répliques. Corriger taquiner terrible recherche, la mer gronde triste et apaise les difficultés.
Risci (“le grand/géant”, nom et/ou surnom de l’artisan qui). Découpa. Le bois.

Notes :
Le coffret est aussi appelé The Franks Casket, du nom du Britannique Augustus Wollaston Franks, qui le ramena de France en 1867, après l’avoir acheté à un antiquaire de Paris, à qui un professeur du Collège Royale de Clermont, nommé Mathieu, l’avait vendu en 1850, lui-même l’avait acquis d’un fils vénal de bourgeois d’Auzon, ayant dépouillé la monture d’argent du coffret à couture de sa mère en 1830. A. W. Franks en fit cadeau au British Museum de Londres, le côté droit ayant été acquis en 1888, par le Musée Bargello de Florence (Lombardie), par legs de la collection Barraud (de Lyon).
Sous l’encolure du cheval, l’arbre est un créquier héraldique imageant l’église óðinnique (comme dans le Le Hof : “Temple óðinnique” de Rouen, attribué ex-cathedra puis concédé par un “chercheur” coreligionnaire à la communauté juive qui l’appel “La Maison Sublime”, alors que c’est un temple Viking de Normandie), le corbeau est un de ceux d’Óðinn, que Wudu : “bois”, mis pour os de baleine, signifie en tant que hĒti, par le saxon Woden/Votan (nom retrouvé dans la Bible Tusko-lydienne, en Juges IX : 7-15, dit parabole de Yotam, dans l’ancien testament le Y est un U grec, Y/U urnordisk & norrois, prononcé comme tel en norska).
A chaque angle de cette dernière plaque, est représenté un Ane, du norrois & gotiska Asni : “âne”, hĒti pour désigner les ÁsiŔ : “Dieux/Ases” (gotiska Ans, AnsiR : “les AsiŔ/Ases colonisateurs”), tout comme le norrois & gotiska Asna : “ânesse” en est un autre pour Ásynja : “Déesse”.