histoire-de-lurda-born-occidentale

Tableau comparatif des Génocides de l’islam, par rapport aux autres événements dans le monde.

L’Urda born : “le passé renaissant” est pour les Nordiques, ce qu’est l’Awen : “l’essence individuelle” pour les Kelts, l’Anheimeln : “le rappel de ses racines”, Ahnenerbe : “héritage des ancêtres” pour les Germaniques, le Berkall : “berceau de la race (Kall)” typiquement Normand (le terme amoindri, se retrouve dans le français d’emprunt Bercail), et les Annales Akashiques, du sanskrit Akasha : “l’éthéré/le spirituel” pour les Indiens. La récognition du schème des chromosomes mémoires, faisant qu’on se remémore le passé (même celui antérieur à soi, au sien propre, et qui survit dans nos gènes).

  • Genèse de l’histoire Européenne :

Qu’on les appelle Würm I à IV, Strog ou Srednij anciens & finals, Kurgan I ou II (“tumulus/tombes” des Tchoudès), les périodes jusqu’à Hallstatt et Têne incluses, furent un creuset de civilisations & découvertes, dues aux peuples pasteurs nomades pré et post néolithiques.
Ces peuples sont dénommés Aryens, lexème de l’english Iron : “fer”, par le keltisk Isarno : “fer/divin”, de Arya : “noble” en indo-européen (langue reconstituée artificiellement), nom venant en fait, de l’eskuara (langue basque) et du letton Aria : “race forte/courageux/lignée supérieure/caste” ou Ari : “grandeur/supériorité” (d’où le sanskrit Hari : “jaune/doré”), qui donna le teangorlach Aireann : “laboureur” (une des origines du nom de l’Irlande), d’où vient l’Aaru égyptien, Aralu : Paradis babylonien situé en l’océan occidental, de Aucidere : “occire/endormir (pour le compte)”. Aux îles Samoa Tangaloa : Dieu primordial créa les Ariki : “Nobles”. Ari/Hari est le nom ancestral des Nordiques, Tudesques et Kelts tous cousins Germains, de Wermanus : “hommes pousseurs de cris guerriers” en keltisk, par Wer : “homme”, Mana : “exhorter” et Us : “mauvais” ou Uzen : “railler” en kelto-germanique. Les Harii, de Hario : “grands guerriers”, lexis du deutsch Heer : “armée”, peuplaient la Germanie centrale (entre Oder et Vistule). Les Cariens/Carias/Caras, furent quant à eux, les premiers ancêtres des Hellènes, comme les Cariens blancs sont ceux, d’une grande partie des peuples Amérindiens du Venezuela et de Guyane.
Des Urhanes : “Grands Ancêtres/Aïeux” en tusk, GraúndŔ : “Ancêtres”(au sens large) en normand, sont issus les peuples des tombeaux à tertres ou à fosses, les peuples aux haches de combat et à céramique cordée, cannelée ou aux gobelets campaniformes (de Campana : “cloche” en gaulois, dit faussement “bas-latin”, pour faire plus savant), ainsi que des mégalithes. En indo-germanique, Hara signifie “montagne/élévation”, de là vient Ararat nom du volcan éteint d’Arménie.
Que ce soient les populations des steppes russes, au plateau anatolien, de la péninsule ibérique, aux îles britanniques, en passant par les pays nordiques, toutes sont issues des peuples/tribus/clans divers (Thuat : “peuple” en keltisk, Thjuda : “peuple nation” en gotiska, est lexème de Teuton) qui s’éparpillèrent, suite à la grande panique causée par la Transgression flandrienne.
Ce cataclysme, de la koinè(dialecte grec commun) Κατακλυσμος/Kataklusmos : “inondation”, suite au basculement de 90° des pôles, dû à l’explosion de Phæton, et sera cause des déluges de Δευγαλιον/Deucalion, Utnapistim, Xisuthros, Gilgamesh et Noah/Noé, qui eurent lieu entre l’ère zodiacale du Cancer et du Lion, entre 13 000 et 9 000 avant notre ère lors du cycle mythologique d’Ares (héros Ligure, Dieu Grec de la guerre), dit aussi Ranu (héros Ledav : nom de l’ancienne Bretagne armoricaine), évhémérisé en Ogmios Kelt, Alsïd Gaulois, Ηερακλες/Herakles Hélène et Hercule Latin. Noter que la légende, situe pour les 2 derniers, l’origine du héros en Gaule hyperboréenne.
La classification moderne actuelle place ce cataclysme, au quaternaire final ou Würm supérieur (du tusk Würm : “ver”, ancien nom du Dragon), époque holocène-préboréale, début des créations de la Mer du Nord, du Skagerrak, Kattegat et de la Baltique, ainsi que la submersion du Dogger Bank au XIIIème s. avant notre ère, des canals Saint Georges, de Bristol et Channel/Manche, et de la Méditerranée qui n’était alors qu’une petite mer intérieure. Plus au Sud selon l’ancienne orientation, l’île de Sri Lanka au pourtour de près de 8 200 km. se réduira des 2/3, & la mer de Chamo/Gobi s’assèchera entièrement.
Des ultimes soubresauts vint la disparition au Vème siècle avant l’ère standard, du 1/3 de l’Irlande (le royaume de Mide : “milieu”, se trouva dès lors en bordure de mer, voir le Mabinogi de Branwen), de la Chersonèse Cimbrique (Jutland, où vivaient Cimbres & Teutons), dont une partie fut envahie par les eaux en 115 avant notre ère.
Et de la forêt de Scissey/Scissy/Scilly, appelée Suli en françois, entre les îles Anglo-normandes et le Nord du Mont-Saint-Michel, selon la légende, au Jour de l’An 709 de notre ère(des îles Scilly/Sorlingues sont au large de la Cornwall britannique), de Kuklúnd (Quokelund/Kauquelunde en français), ancien nom de la forêt d’Ys au Sud-West du Mont-Saint-Michel (du norrois Kuklúlund : “bosquet/bois du magicien”), entre Avranches & Cancale. Et en Bretagne, les forêts de Coat-Is (en brezhoneg, nom de la partie West de Kuklúnd) et Cantias.
De la Frise allemande et de l’île d’Heligland, Danoise et Néerlandaise entre 1215 & 1421, subséquemment à l’engloutissement du lac Flevo, qui aboutit à la formation du Zuiderzee.
L’exode, suite à la panique qui s’ensuivit, est à l’origine de la légende de Ram (Héros Kelt) et de la composition de l’épopée du Ramayana indien, mot identique à Imrama : “navigation” en teangorlach.
Cela déboucha sur une réforme religieuse : la Gynocratie matriarcale, monothéiste & pacifique, du culte de la Déesse Mère (la Fröða Friðr : “paix de Froði” urnordisk, Satya Yuga : “âge d’or” Indien), remplacée par une phallocratie polythéiste guerrière (le mythe mésopotamien d’Etana, de l’aigle & du serpent devenu roi, explique ce changement du matriarcat en patriarcat), du culte des Dieux mâles, appelés Manes : “ancêtres divinisés” à Rome, Min Dieu/taureau Egyptien, Manes/Mani du Manichéisme, Minos Crétois, Manitou Algonkin, Manabozho Iroquois, Men 12ème Roi primitif Maya, à rapproché du Mann : “homme” saxon. A l’origine, avant de se spécialiser, ce mot désignait la “famille”, dönsk tunga Mann/Maður : “homme” (svenska Man) & Mana : “exhorter”.
A cette époque eut lieu une scission des Arias (européens du mégalithique) & le maintien d’un substrat autochtone : Ambrons, que par convention les historiens nomment Logriens/ Ligures, de Leger/Liga : “allier/bande” en gaulois du Li-gar : “des rochers/montagnards” ur-keltisk, de même famille que l’eskuara Arri : “roc”. Leurs ancêtres sont les chasseurs cueilleurs du paléolithique, qui au gré de diverses glaciations et réchauffements, parcoururent des milliers de lieues, édifiant leurs campements des générations en un endroit, se désignèrent d’un terme totémique et s’installant ailleurs, prirent un autre nom tribal à moins qu’on leur attribua une autre dénomination :
Ambronii “Ligures” : Iber d’Espagne, de Grèce et du Caucase, Brigos : devenus Phrygiens, et Ibry/Ivry devenus Heber/Hébreux (en Genèse XI : 16 & I Maccabées XII : 20-23).
Pélasges d’Asie mineure, de la koinè Πελαγος/Pelagos : “peuple de caboteur”.
Dodanim (dans Genèse X : 4), qui est le désignatif biblique des Dardenos (nom égyptien des Troyens).

Tubal-Cain appelés Tibérariens (en Genèse X : 2) venus d’Arménie, ils s’installent dans la Terre d’Og de Basan future terre promise des Hébreux, au terme identique à la Tir-nan-og : “Terre de jeunesse/Terre des vivants” en teangorlach (monde keltiskr des esprits).
Sicanes du Latium et de Sicile.
Euskari de Guyenne et du Pays Basque, seuls à conserver leur nom d’origine.
Vascons de Gascogne, Draganii : “dragons” de Draguignan, Taurinii : “tonnerres” des Alpes, Mandubii : “scribes royaux” en sumérien (d’ascendance étrusque, ou de Manduo/Mannus : “petit cheval de trait”, et Bi : “par” en keltisk) de l’West germanique.
Lettavii : “plat/large” en keltisk, de Bretagne armoricaine (ancien nom de la Gaule selon les Kelts insulaires, du continent en général, comme du Latium italien), mot de même origine que Lituanien et Letton (Lettevia en deutsch).
Picti : “rusés/peints” des Highlands d’Ecosse, Pictons du Poitou, Pict-arii : “Pictes courageux/supérieurs” en eskuara, et/ou Pict-Hardi : “Pictes braves” de Picardie en keltisk, dont un petit pays le Thierache, tire son nom de Teroasca : “la terre des champs” en ligure & ur-keltisk.
Comme les anciens habitants de Menton sont Mentonasques, ceux de Bergame Bergamasques, de Monaco Monégasques, également pour Manosque, Tarascon, Eze etc…
Sîd d’Irlande, d’un mot qui en keltisk, veut dire “paix/Seigneur” passé au gaulois Sedos : “siège/demeure des Dieux”, à l’origine du Cide : “Saint” hébreu, Sidi : “Seigneur” arabe (emprunts Tusko-lydiens).
Tous sont le Becc Tuatha : “petit peuple” des légendes irlandaises.
D’autres tribus Ligures prirent un nom gaulois :

  • Les Vellaunii de Provence, de Fili : “voyant” et An air : “de l’Est”.
  • Les Boii/Boïens du Main Deutschland, de l’Allier et des Landes de Bordeaux, de Bogi : “les terribles”.
  • Les Salluvii/Salyes/Salyens de Narbonnaise, de Saliunca : “nard/parfum” (essence tirée de la valériane).
  • Les Anatilii du Massif des Maures, de Ana : “le souffle/esprit” et Til/Tul : “monticule”.

Tout démontre qu’ils étaient proto-kelts, des gardiens/veilleurs, mot passé à la koinè Λιγυς/Ligus : “vue perçante”, ceux qui restèrent en Europe, après l’exode de Ram : “bélier”, le héros proto-kelt (et aussi variété de coquillage en dönsk tunga : “langue danoise” [nom skandinave du norrois], idiome employé au Moyen Age Skandinave ; l’íslenska et le færöska en sont directement issus, les langues nordiques y puisent leurs origines).
Et de fait, les langues keltiskr remontent aux parlers proto-néolithiques (langues proto-indo-germaniques dites proto-indo-européennes en français, par réaction anti-germanique depuis l’union des Landers allemands fin XIXème début XXème siècle).
Westtir l’ancien nom keltisk de la Ligurie, du keltisk Tir/Ir : “Terre”, identique à l’eskuara Erri : “pays” et du nordisk Wester : “pays de l’west” dont on fit Wespéride/Hespéride, par calque du latin Vesper : “vénus”. A noter qu’en keltisk Tyr désigne la planète Vénus, et qu’en provençal Lugra : c’est “la grande étoile” (voir Planche IX – 7). Selon Strabon, géographe Grec du Ier siècle avant notre ère, les Ligures de l’âge de bronze étaient les maîtres de l’Europe.
La terminaison en Asca/Osco des noms Ligures est une valeur purement kelt, du keltisk Aker : “champs”, passé à l’anglo-normand Acre (mesure agraire), attestée par Aska : “cendre” en urnordisk, et le norrois Ask : “frêne”, nom du premier homme dans la mythologie skandinave. Ce terme perdure dans Eskuari/Eskuarun : “Basque”, Uasco : “Gascon” et l’hébreu Ashkenazi d’origine tusko-lydienne (donc kelto-nordisk), désignant les Germains, plus tard les descendants des Khazars, peuple Proto-Turc, Finno-Ougrien et Ouralo-Altaïque de religion hébraïque, qui après effondrement de leur empire au Xème siècle, constituèrent la majorité des implantations “juives” d’Europe de l’Est et Nord-West du Moyen Age, France comprise.
Ce mot a une racine commune avec le gaulois Talamasca, de Talamh : “terre” et Asca : “cendre” en keltisk, masque de fête en terre séchée, osier, bois ou écorce, qui était brûlé après emploi lors d’une cérémonie de réjouissance, dont sont issus le mardi gras et la fête des cendres (Aska en urnordisk). Ces masques représentaient des têtes d’animaux ou faces d’individus, comme ceux de la Siftungsvaka (grande fête Óðinniste fêtée en Solmanuðr 18, c’est-à-dire le 2 Juillet), et christianisée en Angleterre en Saint Swithuns’s day (reportée au 15 Juillet), la Saint Swithold fêtée en Normandie jusqu’au XIXème siècle, est attestée par Ambroise Firmin-Didot dans son Dictionnaire Historique. Il y a aussi la procession des Laubmannes/Laüdenmench de Basse-Saxe, portant des masques animaliers, les Klaus d’Urnäsch en Suisse et des Sunderums des îles Wadden (Nederland), habillés de bruyères, d’herbes de dunes, de coquillages et de plumes de poulets, comme les Personnæ : “masques” du théâtre étrusque, à l’image de Personnage/Personne, lexèmes français.
Le comportement du héros mythique Ligure, se disant lui-même Ambroni : “de l’autre rive” en gaulois est typiquement keltiskr, par ses Galéjades : “exagérations” ; voir le provençal Galejado mot d’origine gauloise, de même lexis que Galego : Dialecte keltisk de Galice, Ibérie du Nord-West.
Les Pictes (mot de même racine que pictural) sont les “peints/tatoués”. Ils se peignaient le visage en bleu, des masques de guerre, comme les Amérindiens, Aïnos/Aïnous et Maoris, ou en Germanie les Harii : Tribu saxonne de la Vistule, qui se peinturluraient le corps et la face en noir pour la guerre, en bleu pour les Herules (Goths).
Selon les légendes irlandaises, les Tuatha Dé Danann : “gens de la DéesseDana” ou Tuatha æs danan : “peuple des gens d’art”, venaient du Nord du monde. Tuath/Ichtar, veut dire aussi : “nord/bas” en teangorlach ancien. L’Hyperborée grecque, de Upper : “haut” et Bore : “sanglier” en urnordisk, ancien nom du Grand Chariot (Grande Ourse), Eburos : “le sanglier” chez les Kelts, cité par Pythéas historien géographe Grec de Massalia/Marseille, au IVème siècle avant notre ère. Ils étaient réputés magiciens, artistes, savants, en un mot Druides. Leur religion devint celle des Kelts/Gaulois, un legs des peuples du mégalithique.
Les Danann sont antérieurs aux Kelts et Fir-bolg : “homme tonnerre” d’Irlande, ce sont les constructeurs des mégalithes(dolmens, menhirs, allées couvertes, roulers, cromlechs, peulvens, alignements, cairns, tumulus, monts-joie, tertres, microlithes, mænlogs etc…), du néolithique au chalcolithique, en passant par le moustérien, du VIème millénaire avant l’ère standard, jusqu’à l’éclosion de la première civilisation de Hallstatt (âge de bronze 3 500/2 500 avant notre ère). Ils sont organisés en aristocratie religieuse et guerrière, et eurent une influence décisive sur le culte des Kelts, leurs descendants directs revenus d’exode.
Ce retour, qui prit l’allure d’une croisade, était prêché et mené par un Fisig/Shamann/Prêtre guerrier (de Fis : “savoir”), du nom de Hu Kadarn/Uh Gadarn/ U Gadan, du keltisk U/O : “fils” de Ona : “relatif à” en gaulois et Kad/Kadu : “combat”, Prêtre Roi Kymrique/Cymru/ Cimmérien des Kelts de la Têne (appelé Gimicai en assyrien), comme les Cimbres germaniques, de Cimbœth : “pillards/brigands/voleurs” en teangorlach. C’est à cette époque que le Shamannisme kymrique, celui des kelto-germains de la migration, qui perdurera en l’Óðinnisme germano-skandinave, est supplanté par le Druidisme des Danann, fonction religieuse appelée Drustan en Picte.
Les Danann sont aussi à la base des institutions politiques des Gaëls, et ce sont précisément les Gaëls/Gaulois/Gallois, dénommés Fils de Miles, du keltisk Mileto : “destruction/pillage”, qui sont des Doriens, de Dara/Dor : “porte” en teangorlach (Torana en sanskrit, Torii en nippon), qui leur succèderont.
Les Arias/Pictes/Sîd (sous-entendu pour Ligures), sont les véritables inventeurs de l’écriture & du chiffrement (puisqu’à l’origine la lettre était aussi un chiffre et/ou nombre), liée à la religion, au commerce et à la mise en place de l’infrastructure administrative du mésolithique. Ces peuples, à l’origine du monothéisme, ont pour culte celui de la Déesse Mère, souvent représentée sous forme d’une Vénus callipyge.
Ils ont comme créatrice de l’écriture, une Déesse évhémérisation de celle-ci, qui plus tard sera associée à un Dieu, dans la nouvelle religion polythéiste et phallocratique, en référence au couple divin originel :

  • Nidaba est la Déesse sumérienne de l’écriture.
  • Sechat en Egypte, Neter : “Déesse” des Tches : “hiéroglyphes” (noter qu’en chinois Tche veut dire : “gouverner/tailler le bois/savoir/connaissance”), dite “la Dame de la bibliothèque”, est la parèdre de Thot inventeur de l’écriture, Neter : “Dieu” des scribes (qu’Horus l’ancien aurait devancé) ; elle sait dessiner, peindre & planter les piquets pour fonder un temple.
  • Sarasvati, en Inde, Deiva : “Déesse” qui inventa l’alphabet.
  • Carya dit Carmenta : Divinité pré-hellenique de Carie – les Caras/Cariens (transposition de Aria) furent les ancêtres des Grecs -, est devenue Artemis chez les Grecs. Elle est à l’origine de l’alphabet dit “latin”, par retranscription du grec monumental ; la prononciation des lettres quant à elle, est racenna/étrusque.
  • Freja : est l’Asinja (Asine/Déesse) skandinave, qui enseigna les SĒðkona : “rituels magiques des runes” à Óðinn : Ass (Ase/Dieu) Suprême Nordique, qui se pendit à l’arbre Ųggdrasill pour acquérir les Runes.
  • Keridwenn : Déesse irlandaise de la connaissance et de l’intelligence, parèdre féminine d’Ogmios : Dieu Suprême Irlandais appelé aussi Dagda : “Dieu bon/capable”, inventeur de l’alphabet keltisk dit Ogamique (terme identique au biblique Og de Basan : capitale des Assurites/AsiŔ, Nombres XXI : 33), lexis de Ogre et Homme en français (langue faussement attribuée au “latin”, alors qu’elle est en réalité kelto-nordisk, c.-à-d. pan-gauloise mêlée de germanique et de nordique).
  • Reitia en 500 avant notre ère, est la Déesse Vénète de l’écriture ; son nom est identique à 
  • Druntia : Déesse gauloise du sapin, Mère du calendrier des arbres.

De même racine étymologique sont Vannes en Bretagne, le Comtat Venaissin, Vienne en Limousin, Vendée, les Wendes de la Baltique, Wien en Autriche, Venise en Vénétie. La Vienne est une rivière du centre-West se jetant dans la Loire. C’est aussi le nom d’une rivière normande qui passe à Bacqueville et rejoint la Saâne. Ce terme vient de VaniŔ : “Vanes” Divinités nordiques, d’avant la réforme religieuse qui vit leur repli en faveur des AsiŔ : “Ases/Dieux” skandinaves.
Les Achéens et Phrygiens, envahisseurs Kelts Goidels de Grèce, venus du Turkestan, apprirent aux Phéniciens, eux-mêmes d’origine keltiskr, la liste syllabique des arbres.
Les Doriens et les Philistins, Kelts Kymriques, Belges Proto-Germains, de Belgæ : “pasteur” ou Bolg : “tonnerre” en keltisk, venus du Turkménistan en 1800 avant notre ère, sont descendants des Bactriens (terme moderne) qui élevaient des cités aux immenses tours (comme les Tyrennes/Etrusques, de la koinè Τυρσα/Tursa : “tours”).
Les Kelts, isolèrent les voyelles en saisissant le côté magique, comprenant que sans elles, les consonnes sont imprononçables, inventèrent le son séparé, le déifiant en I.E.O.U.A/I.A.O.U.E (qui est le Dithir/Dith Atir : “Destructeur/Père de destruction” brittonique, de Dith : “destruction”, détournement du sens de Déisi : “êtres divins” venant du Diàr/Dee : “Dieux” teangorlach), vers l’an 1000 avant l’ère standard, et l’enseignèrent aux Grecs.
C’est le Iao : “Dieu” euskarien, Iao/JEü : Dieu inconnu Tusko-Lydien, Yao des Algonkins, Iaotl Dieu aztèque analogue à Ahaw(wa) Balba : “Seigneur-caché”, divinité des Mayas de Palenque.
Entité récupérée par les Hébraïques qui en firent le Jéhovah/Jahwé/Jaweh/Yahvé/ Yaveh/Ya/Ja(Baal) Biblique.
De nos jours, il est attesté qu’il y a dans la mythologie keltiskr et la religion gauloise, telles qu’elles nous sont parvenues, la pérennité des époques antérieures aux Keltiskr que, faute de terme approprié, nous nommons proto-histoire et/ou préhistoire. Le keltisme est donc, Clann : “descendance” en teangorlach, Clan/Klan : “nommé” en racenna (forme abrégée de Kallinn), Oglan : “enfant” en tartare, du Klanos : “fils/né de” keltisk, qui donna Knos en gaulois, en quelque sorte le fils morganatique des Ligures, un Clone ou du moins son fidèle reflet.
La transmission ésotérique ne se fait-elle pas par la gauche (Isaïe XLVIII : 13, dit que Yaweh a créé la Terre de sa main gauche, et les cieux de la droite), comme la lumière des tableaux de Vermeer. Les acides aminés sont presque exclusivement de structure gauche (déviant le plan de lumière polarisée en ce sens). Ainsi, dans la grotte de Lascaux, les chevaux sont peints venant de gauche. Eku/Ech : “cheval” en teangorlach, désigne ce qui est noble, mot racine du gaulois Ekuite/Ekvite/Ekwite : “cavalier/chevalier/noble”, mot récupéré par les Latins. Les aurochs/taureaux/bœufs/bisons peints à droite, ont rapport avec le culte agraire de la Grande Déesse Mère.
Chez les Mayas, Aztèques et Chinois, les chiffres pairs et le Yang masculin régissent la droite ; les impairs et le Yin féminin, la gauche. En Chine (celle qu’a reniée la dictature communiste), l’union du Yin/(6) et du Yang/(9) : [, représente le Tao: “la voie”, stylisation d’un Snekjar (bateau) Viking: Ce signe est le principe unitaire du cosmos, voir le brezhoneg Tao: “silence”, et le kymris Taw: “silence/tranquille”.
En armoiries, le Tor désigne la partie gauche de l’écu/blason des émailleurs ; par effet miroir il situe/reflète la droite.
Si nous découpons les syllabes, et lisons Liga (racine du nom Ligure, selon Avenius dans Ora maritima: les Liguriens [Ligyens/Lugiens/Ligures] vivaient naguère sur les rives de la mer du Nord ; Ambronii était un autre nom de ce peuple) de droite à gauche (sens du retour de la migration Keltiskr), nous obtenons Gali (racine de Galles/Gaule/Galatie/Galilée/etc…).
Quant au terme Kelt, d’origine nordisk, c’est une transposition de Hildr : “guerre” en urnordisk avec Kalt : “froid” (ne dit-on pas du froid que c’est l’offensive du général hiver), et/ou Kaleto : “dur” en keltisk.
Termes symboliques, car selon la pensée des anciens retranscrite par Aristote notamment : “la femme est d’humeur froide, et l’homme d’humeur chaude”, Kalt étant alors un théophore de WĒrd (schématisation du cristal de glace, rune dite le grêlon) : qui est la “Grande Déesse Mère”. Il est probable que l’un des 2 termes (Kalt et/ou Kaleto), étant à l’origine des noms Kymris/Cimbres/Cimmériens/Kim-Yör du Pont-Euxin, en retour métonymique, ils s’identifièrent aussi avec le deuxième terme. Kymry/Cymru : est actuellement, le nom kymris (cymræg/gallois) du Pays de Galles, de Com-brog : “du même pays”.
La prononciation doit en être dure : Kalt/Kelt (comme dans Cotentin et Caux en Normandie, les Causses et la Calédonie, seuls pays s’appliquant encore l’ancien anthroponyme tribal Kelt). Tandis que le français Celte : d’une écriture et prononciation tronquée, est dû aux Romains qui par dérision leur donnaient pour sobriquet Celtis : “ciseau de sculpteur”, eux qui se refusaient à tailler la pierre par Geis : “soumission/obligation/contrainte/commandement/injonction” en teangorlach (au pluriel : Geasa), prescription à caractère religieux. En langue gauloise, Celtis : désignait une sorte de poisson.
Pour ce qui est de la koinè Κελευθος/Keleuthos : “sentier de guerre/expédition militaire”, elle identifie le terme à celui de croisade, celle des Kymriques/Gomériens, de Goyim : “païens/étrangers/bétail” en hébreu, voir Josué VI : 21 (c’est de cette manière que les Juifs considéraient les autres peuples, comme des esclaves et du bétail voué à l’anathème et bon à “consacrer”, mot “pieux” et hypocrite utilisé pour désigner des massacres ethniques perpétrés par eux, sous couvert de la religion, lire Esaïe I : 3-4, et Deutéronome II : 33). Le sens en est perverti, seul le mot est d’origine keltisk, voir Josué XII : 23.
Dans Jérémie LI : 27 il est dit : “Appelez contre Babylone, les Rois d’Ararat de menni et d’Askenez”, ce qui se traduit par : “Appelez contre Babylone, les Rois d’Europe (le Mont Ararat est aux frontières de l’Europe, Arara est aussi le nom d’un Roi Hittite, c.-à-d. un proto-indo-européen), les peuples de la famille (Mennie : “famille” en normand, de Menn : “homme” déclinaison de Maður/Mann en dönsk tunga), Germanique (Ashkenez en hébreu emprunté au tusko-lydien), comme le sont les Kelto-nordiskr à l’origine des Habiroux, voir à Ezéchiel XVI : 3 et 45.
A noter que le brezhoneg Gall : désigne les étrangers en général, Français/Gaulois en particulier, de même Gall : “étranger” en teangorlach. Valsk en ruskall, comme le tusk Welsh, désignent les Français, et tous les peuples Kelts (en y incluant les Latins, ce qui est une erreur), Valland : “France” en dönsk tunga, transposition de Wal/Gal : “puissance/force” en keltisk.
Cette migration à allure de croisade, prêchée par U Gadan : “fils du combat” Shamann Prêtre Roi, fut à l’origine du retour des Cimmériens/Kelts en Europe Occidentale. Se référant au héros Kelt Ram, des Gaëls installés au Moyen-Orient, fonderont le Royaume de Rama, l’hébraïque Aram pays des Araméens, qui deviendra Syrie en koinè.
Dès lors commence l’histoire des invasions keltiskr en Occident, et celle du peuplement de la Gaule, en un immense empire ethno-linguistique, qui s’étendra plus loin que celui des conquêtes grecques d’Alexandre le Grand : né à Pella en Macédoine, lieu d’une importante colonie keltiskr, des conquêtes romaines des Césars, ou de celles de Constantin le Gallo-Romain (de Mère Kelte).
Jusqu’à nos jours, c’est le seul réel lien qui unit les diverses langues dites : romanes, romanches, ladines, italiotes et ibériques, classées sous la fallacieuse appellation de “langues latines”, en y incluant une notion pseudo élitiste de race civilisatrice, sous prétexte que Rome a vampirisé ces pays entre IV et VI siècles.
Le linguiste Allemand Friedrich Diez dans Grammaire des langues romanes, écrit : “La langue d’Oïl est venue surtout de la Normandie”. Et je rajouterais “près de 50 % de l’english”. Cela fait-il de cette dernière une langue romane ? Non ! à l’évidence, puisque les “dialectes normands” : anglo-normand, normand-picard, cauchois, brayon, avranchin, cotentinois etc…, sont kelto-nordiskr !
Dès le IIIème siècle, la Normandie faisait partie d’un système de défenses fortifiées appelé, Litus Saxonicum : “rivage saxon”, mauvaise transcription latine de Lites saxonicorum : “saxonnie fiscalisée” (du tusk Lites : “attachés au fisc”). Au IXème siècle Sées (au sud de la Normandie Occidentale) était appelée Saxonia (c’en est même l’étymologie, grâce aux migrations saxonnes entre le IIIème et IXème siècle), et la région entre Caen et Alençon (moitié Est de la Normandie Occidentale), était dénommée Saxonia Otlinga : “Saxe en friche”(parce qu’elle n’était pas fiscalisée). C’est dire qu’elle était déjà une zone à fort peuplement Germanique (jusqu’à Rouen même), renforcé sous Karl Magnus dit Charlemagne en France, par la déportation massive de Saxons adorateurs d’Irminsul vers 794/797 (survivants de la bataille de Verden), dans l’Orne et le Perche (Normandie), le Thymerais (Eure-et-Loir normande), ainsi qu’en Sarthe et Mayenne(le Maine, faisant partie de la Normandie dès les origines). Widukind leur Prêtre/Roi y fit souche, par celle des Comtes d’Anjou, des Capétiens (par Robert le Fort : Marquis de Neustrie et Comte d’Anjou), et des Plantagenêt (par Geoffroi V d’Anjou).
L’ancienne Gogletgarth keltisk, de Gogledd : “gauche/Nord” et Garth : “jardin/ terrain” en kymris, devenue la gallo-romaine Lyonnaise IIème, devint la Neustrie franke, où les Saxons eurent aussi le privilège d’avoir leurs propres Ducs. Ainsi en fut-il d’Aubert de 751 à 770, de son fils Richard de 770 à 828 (le Saxon Robert surnommé “le Diable”, autre fils d’Aubert, fut confondu à dessein par les Français avec le Duc Viking Robert le Magnifique) et son neveu Ernëz de 828 à 830 (tué par le Duc mérowingien du Razès Guillem de Gellone dit “au court nez”. Fils de Théodoric, Guillem fit couronner Louis le Pieux dit “le débonnaire” en 813). Ensuite, la Neustrie indépendante “échut provisoirement au Comté de Paris de 830 à 845, jusqu’à la conquête Viking entérinée par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911 (ceci est rapporté par l’historien Nagorel en 1558, depuis les envahisseurs français et Rois usurpateurs, leurs remplaçants républicains dit jacobins et un cortège d’historiens faussaires, se sont efforcés de réécrire une histoire révisionniste de la Normandie, pour mieux gommer les différences).
Pour enfin prendre son nom définitif de Normandie, quelle pérennité en dénominations féminines de la Duché Normande, ainsi qu’en la localisation géographique d’un même contexte territorial kelto-nordiskr, qui également possède le plus ancien drapeau du monde, à croix dite de Saint Olav d’or éclatée sur fond rouge.
Et ne nous étendons pas sur l’essai d’instauration avorté par la répression, au XVIIIème siècle (sous le roi de France Louis XIV) d’une République Batave de Normandie (jusqu’au XIVème siècle le Comté de Flandre [englobant l’Artois et le Nord-West de la Picardie], était frontalier de la Normandie [Seine Maritime]).
Des siècles d’occupation romaine, après les “victoires” Per fas et ne fas de César, ne réussirent pas à entamer l’âme des partisans gaulois. Maintes résistances Bagaudes : “maquisardes” eurent lieu contre la fictive Pax Romana : “Paix romaine”, du keltisk Baga : “bataille/bagarre”, Bagad : “troupe” ou pour se référer au Kat Godeu : “combat des arbres” du Barde gallois Taliesin, du gaulois Bhago/Bàgo : “hêtre”, essence symbolisant la littérature & culture keltiskr :

  • Une résistance bagaude, eut lieu en 21 de notre ère sous Tibère. Le chef de cette insurrection s’appelait Sacrovir : “vilain homme”. Après sa défaite, des milliers de Druides seront crucifiés en vertu de “l’ordre romain”.
  • Une autres en 56 sous Vitellius, dont les chefs Belges furent le Boïen (dans l’Allier) Mariccus : “des grands”, et l’Unellii (du Cotentin) Viriodix : “homme hièble” ; réprimée par Sabinus qui alors servait Rome.
  • Une en 69/70 sous Vespasien, menée par le Lingon (en Champagne) Sabinus : “javelot mélodieux”, époux d’Eponine : “sanctuaire du cheval” revendiquant le legs de César (c’est-à-dire la Gaule) ; fut noyée par une sanglante répression.
  • Une autre eut lieu en 270 de notre ère, menée par Victoria : “coléreuse” surnommée “La Mère des légions”, Amandus : “sans cheval” & Œlanus : “grandissime”. En représailles les forces vives de la Gaule non collaborationniste seront massacrées par les troupes occupantes de l’empereur Maximilien, à Saint-Maur-des-Fossés (anciens Fossés des Bagaudes).
  • En 285, la révolte qui en fait est l’aboutissement de la précédente, s’appela “Jacques Bonhommes”.
    • L’autre en 408, en la péninsule Armoricaine, chasse les gouverneurs Romains corrompus, les remplaçant par des responsables Gaulois etc…

Les peuplades germaniques furent bien plus longtemps en Gaule, près de 1000 ans. Les Arabo-berbères, en Espagne et Portugal pendant presque 600 ans. Hongrois et Slaves occupèrent environ 600/700 ans la Roumanie et ce, après que l’empire romain ne fut plus que cendre.
Cela permet-il d’en déduire pour ces peuples, un changement d’ethnie de race ?
Poursuivant ce genre d’argumentation, et si on ne se réfère qu’à la Linguistique, nous ferions des Africains francophones des Latins et des anglophones des Anglo-Saxons, comme on a fait des descendants d’Amérindiens du centre et du sud des Latins. Change-t-on d’ethnie en changeant de langue ?
Ce qui ferait des Ashkénazes de langue yiddish à 80 % composée de tudesque, des Saxons et non des Juifs/Sémites (d’après le dictionnaire), ce que d’ailleurs ils ne sont pas puisque d’origine Khazar, c’est-à-dire Ouralo-Altaïque, comme les Caraïtes du quartier de Mea Searit à Jérusalem, qui refusent toute intégration à Israël.
Pas plus que la langue, la religion ne crée un groupe ethnique, les musulmans des Balkans ne sont pas exempts de cette constatation. Ils ne sont ni Turcs ni Arabes, mais tout simplement Slaves, Serbes ou Croates. Seules les circonstances géopolitiques de l’empire turc firent que, prenant cette religion, les Slaves Giaour : “chrétiens/incroyants” (en turc) d’alors, étaient considérés à l’égal des envahisseurs Turcs donc exemptés d’impôts.
Au contraire de Raïa : Sujets Juifs ou Chrétiens de l’Empire ottoman soumis à la capitation : “impôt par tête”.
Le choix étant restreint, ceux haïdouks ou pallikares, comme le patriote Albanais Georges Castriota dit Skanderbeg, ou l’héroïne Berbère (de religion judaïque) Damya dite Al Kàhina (la Cohen), les Orthodoxes Grecs, Melkites (Chrétiens d’Orient) : Uniates, Maronites, Arméniens, Coptes et Ethiopiens, ainsi que d’autres religions comme : les Mandéens, Nestoriens, Mazdéistes (Guèbres et Parsi), les Hindouistes, Jinistes/Jaïnistes et Bouddhistes (système de pensée), Sikhs, Shamannistes, Animistes, et Kalashs du Pakistan, qui eurent le courage de ne pas céder, n’en ont que plus de mérite.
L’expression “Sourire d’Allah”, ne désigne-t-elle pas l’égorgement, la secte Chî’ite des Nizàrites dite Haschischin n’est elle pas à l’origine du mot Assassin !
Le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité, a été perpétré par les musulmans contre les hindous, des années 1000 à 1500, où environ 80 millions d’indiens furent massacrés par les mahométans (& il perdure malheureusement encore en ce XXIème siècle).
Le premier génocide de notre époque, celui des Grecs insurgés contre l’Empire Ottoman, dont 70 000 furent massacrés, rien que dans l’île de Khios/Chio par les Turcs en 1822 ; les Arméniens massacrés par les Turcs de 1894/96/98 avec 300 000 morts & avant 1915 avec 25 000 morts & pendant 1915/18 avec 1 500 000 morts, après le massacre des chrétiens Maronites par les Druzes de Syrie entre 1840/1842 & 1860, sont des exemples du sectarisme des suppôts de ce culte. L’Islam, qui pourtant avait commencé dans la tolérance, ou plutôt dans un lieu dit “de tolérance” tenu par la “veuve” Khadidja (litote de même valeur que celui de la “veuve poignet” ?) qui, ou que soutenait l’illettré Muhammad. Ce n’est qu’en 632 (après sa mort), que le calife Abù Bakr et le scribe Zayd rédigèrent le Coran/Qur’àn, dont le calife Uthmàn ibn Affàn fit établir une recension entre 644 et 656.
Dans sa jeunesse Muhammad rencontra un vieil ermite asiatique, dans la grotte Hîra (nom du fils de Harsha prince indien protecteur des Brahmanes), où il s’était réfugié. Le moine Bouddhiste Chang (Yueh Chang, fut arabisé en Ben Chasi), celui-ci entreprit un voyage vers le septentrion ; c’est ce sage qui l’enseigna. L’évêque sassanide de Najram (en Irak), qu’il entendit prêcher, lui donna envie de rédiger un livre “saint”, qui concurrencerait Le livre : “la Bible”. En 610 il dressa un pigeon à manger au creux de son oreille, faisant accroire que c’était Idris : l’archange Gabriel qui lui faisait des révélations (Coran II : 91).
A l’évidence, le message de paix et de tolérance fut bien mal compris !
Allah vient de El Lat : “Déesse”, transposition de Al hlaut : “tout sang du sacrifice” en norrois. Hallàh selon les Brahmanes est le principe universel de Dieu (All : “tout” en anglo-saxon), et désigne ce que les Grecs nomment Ennéade, qui donna son nom à la Grèce : Ηλλας/Hellas/Ελλάς/Ellàs. C’est également le cri (genre de Mantra, avec Ya hu : “O lui” et Ya man hu : “O lui qui est”) employé par les Derwiches, de Derwid/Druide, pour entrer en extase lors de leur Sammah : “danse circumambulatoire”.
Le Coran/Qur’àn (à rapprocher de Coranné : “guirlande/couronne/corne” en teangorlach), mélange de concepts religieux Judaïques, Chrétiens, Brahmanes et même kelto-nordiskr, contient aussi des enseignements de la Gnose grecque, et tire son nom de Κορε/Kore/ Γορε/Core : “la perdrix” en koinè, Qo-re : “caille” en hébreu, en l’honneur de laquelle s’orchestrait une danse sacrée (dite Chorée et/ ou Danse de Saint-Gui en français) ; mais en koinè c’est aussi “la pupille de l’œil” (la lune, œil de la nuit). Coré dite Perséphone : Déesse de la végétation, de la vie et de la mort, est connue et vénérée à Rome sous le nom de Proserpine.
Dans cette pseudo religion (il serait d’ailleurs plus judicieux, d’employer le pluriel à son sujet, car il s’y côtois plusieurs systèmes de croyances ; les Chiites et les Sunnites, pour les 2 plus grands courants, étant le pendant mahométan du Catholicisme et Protestantisme des chrétiens), la prière y est appelée Salàt, du latin Cella synonyme de la koinè Ναος/Naos. La Ka’ba, de la koinè Κυβος/Kubos : “dé”, date du polythéisme antérieur à l’Islam, celui de Cybèle dont le culte est symbolisé par la pierre noire de Pessiponde. Lieu, d’où les Animistes devenus Polythéistes, Hébraïques puis Chrétiens de la tribu des Quraychites (celle d’origine de Muhammad) vassaux de Byzance, organisent la commercialisation depuis la nuit des temps.
A l’origine les Koreischites de KorĒkitré par l’urnordisk Kor : “navire”, norrois Knör : “bateau” et Ēkitré : “chêne”, sont issus de marins proto-Wikkings et/ou tusko-lydiens.
Ali, neveu (fils de son frère, en arabe il n’y a pas différenciation entre “fils/cousin/neveu”), et beau-fils de Mohamed (en épousant sa fille Fatima), est un prénom norrois Alí, hérité des Varègues gardes Vikings de Constantinople (du norrois Hali : “queue [de vache]”). Peut-être même fut-il l’un d’eux, qui s’installa en Arabie (après un voyage en Palestine).
N’en déplaise aux fondamentalistes, eus le manque d’égards à la foi aveugle et à l’intransigeance prescrite par les écrits coraniques, les apostasies des musulmans seraient fort nombreuses ; si liberté religieuse et libre arbitre étaient de mise, ils iraient à l’inverse de l’intolérance quant aux conversions religieuses aux autres croyances, notamment Chrétienne ou Babisme/Bahaïsme, interdites à l’heure actuelle en Iran, et dans tout autre pays où est maîtresse cette religion, génératrice de nombreuses écoles : Chàfi’isme, Hanafisme, Hanbalisme, Màlikisme, de sectes : Sùfi, Kharidjites, Sunnite, Acharisme, Chî’isme (simple retour au Mazdéisme, sous oripeaux coraniques) : ‘Alawîtes/Nusayris (néo-zoroastres), Druzes, Duadécimains d’Iran, Ismaïliens/Qarmates, Zaydites, Wahhàbites etc…, et d’intégristes obtus : F.I.S., Frères Musulmans, Hisb ut Tahrir, Talibans (armés par les Américains), Salafistes, ou autres parasites islamistes, liés où non à l’intégrisme.
La jument à tête de femme appelée Borak que monte Muhammad, fait penser à la rune          /R/Rade : “chevauchée” dont le sens est “acte sexuel” en SĒð Köna (magie). La symbiose d’un corps de cheval et d’une tête humaine est typiquement keltiskr, et se retrouve sur nombre de pièces gauloises et autres sculptures keltibères.