oghams-et-veritables-runes-druidiques

Notes explicatives :

  Les 20 premiers Briathar : “mots”, de l’alphabet oghamique se réfèrent aux Achren : “arbres”. On appelle cette suite Ogom Craobh : “Ogam arbres”. Le “p” n’existant pas à l’origine de l’ogham, les clercs Chrétiens & Moines Kuldés, utilisaient d’abord par emprunt le digramme ia/io/Iar : “Poule”, puis l’y substituèrent à “◊/ŋ/ng” et créèrent le p/Pethboc : “Hièble”, Poduco ur-keltisk, Odoco gaulois. B.L.N. (Beth-luis-nion) est le signifié de Belen/Belenos (Lug) : Dieu gaulois de la lumière(voir le Barddas I : 16 et la Genèse I : 3, où de la parole/lettre jaillie la lumière).
  Les 5 digrammes suivants, qui se réfèrent à des animaux d’élevage, sauf ea/ eo/Eolg : “Elan” animal totem de Kernunos, et le demi-digramme ui/wi/Wiau : “Œuf”, en référence à l’œuf de la création du monde, s’appellent Aicme Forfeda/Aicme Forfid : “famille supplétive”, c’est un rajout dû à un parturisme runique.
  Ce sont les voyelles runiques  /I, /Ē, /O, /U/V et /A, tournées 4 fois sur elles même (en direction des 4 points cardinaux), qui forment par quartation le dessin des aicmes forfeda(pour les Chrétiens ce “quatrement” sentait le soufre, le Do quarte par exemple, était appelé “l’accord du Diable”, le Quadrats : était un ensemble de Medou-Neter : “bâtons divins” dit Tches : “hiéroglyphes” en kemt, regroupés en carré [à rapprocher du mandarin Tche: “gouverner/travailler le bois/savoir/ connaissance”]).
  Par ce faire, c’est un calque sur les voyelles oghamiques, qui se lit IEOUA/Jéhovah/Javeh et qui retranscrit la suite sacrée de voyelles tusko-lydienne, déifiée et reconnue comme le Dithir/Dith Atir : “Destructeur/Père de destruction” des Brittoniques, et Dith détournement de Déisi : “êtres divins”, dont la racine est Diàr/Dee : “Dieux” en teangorlach, divinité, fonction et nom usurpés par les Hébreux sémites aux Habiroux kelto-nordiskr.
  Ces mêmes voyelles pointées sur un petit cube, sont à l’origine du dé dont on se servait pour la divination, la 6ème face est résultante des 5 autres, dont le total fait 15, 1 + 5 = 6, chiffre triangulaire : (6 points en triangle) selon les pythagoriciens, chiffre de la structure absolue, dont le dessin : (6 avec la queue terminée par une pointe de flèche) représente une germination vers le haut (donc spirituelle).
  De plus, la somme de chaque face opposée fait Secht : “7” en teangorlach, Seith en kymris, chiffre divin et phonème composante de Setanta : “cheminant” premier nom de Cuchulinn, du teangorlach Set : “chemin” (comme le Seth biblique et Egyptien, les Coptes [Chrétiens d’Egypte] de la koinè Αιγυπτος/Aiguptos : “Egyptiens”, grec Αεγυπτυς/Aegyptus, transposition du kemt Ha-Ka-Ptah, nom du grand temple de Ptah à Men-nefer [Memphis], en sont les véritables descendants, ils ont également gardé la langue de leurs ancêtres).
  En Kabbale hébraïque, les Rabbins substituent les lettres/chiffres (chiffre vient du sanskrit Çunya : “vide/zéro”) ט/Th/Theith/9 et ן/V/Vav/6 pour 15, à י/Y/Yod/10 etה/H/Hé/5, qui se prononce Yah et qui est le nom divin, la composante des deux chiffres fait référence à Barashit : “il créa 6” identique à Bereshit : “commencement” en hébreu, et 1ier mot de la Torah (Pentateuque, dont le 1ier livre la Genèse est le Sefer Ma Aseh Bereshit : “Livre de l’œuvre au commencement”), ce qu’est B/Beth, 1ère Craobh : “lettre” du Beth-luis-nion ogom.
  C’est le Juif Occitan Salomon Ibn Gabirol au XIIème siècle, qui emprunta le terme Kabbale, hérité du nom d’une tribu gauloise du sud-est de la Gaule & le savoir issu de la science Bardique que ceux-ci avaient perpétué, de Gabala : “invasion/conquête” en teangorlach & ur-keltisk, & survivant en galeja dit gallo-occitan Gabalaccos : “domaine des conquêtes/javelot/javeline” & Gabella : “tas”, Cabale appelée aussi langue des oiseaux, et/ou Gaye science, du gaulois Gaiùs : “geai” avec un jeu de mot sur Gai : “lance” tout deux, de même lexis que le gotiska Gáheis : “vif/rapide”.
  Le digramme ui/wi, nommé Uichain : “Bœuf”, et/ou Wiau : “Œuf”, est à l’origine de l’expression proverbiale : “Qui vole un œuf, vole un bœuf” transposant le “qui utilise œuf, le subtilise à bœuf” et/ou Uichain : “Bœuf”, vaux Wiau : “Œuf” (en tant que diagramme correspondant bien sûr).
  D’où le terme ruskall : “cauchois” d’origine gauloise Wéaú : “veau” (mot poétique de source keltisk, diminutif de Waka : “vache”), latinisé en Viot par des grammairiens chagrins en mal de romanité, qui ont ajouté un t superfétatoire au lexème keltisk, le petit de la vache, qui comme le terme français Veau, n’a rien à voir avec la racine latine Vitellus : “jaune d’œuf”, dont on le fait provenir (même s’il découle d’une même idée, celle de l’œuf).
  Le Baal biblique symbolisé par un bœuf, et évhémérisé en Yahweh/Jéhovah hébraïque, ayant lui-même remplacé le culte de l’œuf de la création, dont le mycrastère :  fossile d’oursin, l’œuf du serpent roux selon les Gaulois, était la survivance.
  En Egypte, selon la tradition commune, il y avait 4 thèmes cosmogoniques, celui de Iounou (Héliopolis), de Men-nefer  (Memphis), de Nout-Amon (Thèbes) et celui de Khemenou (Hermopolis). La théogonie pour ce dernier centre était que l’Ogdoade, les 8 Neter : “Dieux” primordiaux (dont le chef est Thot), typifiés sous forme de 4 serpents appariés à autant de grenouilles, forment l’œuf cosmique, et le place au fait d’une butte surgie de Noun : “l’achaos (l’avant chaos originel)”, de celui-ci naîtra Râ : “le Soleil”, qui organisera le Monde.