thor-thor

AUTRES HĒTIŔ : “surnoms” DE ÞÓR, l’ASS DE LA GUERRE
Selon les Hébreux qui empruntèrent ce contexte aux Tusko-Lydiens, rédacteurs de la Bible, la Thora se compose des noms de Dieu, mais est dans son ensemble son véritable nom, par transposition de Shôr : “taureau/Dieu”. En Ethiopie, Thor Heliohim : “fils du soleil” (voir dans Deutéronome XXXIII : 2, où Yaweh = le Soleil), est le nom originel du rouleau appelé “Livre des secrets d’Enoch” (dit “Livre d’Adam” en Genèse V : 1), ramené en Europe par le Britannique Bruce au XVIIIème siècle. Thor Heliohim est à rapprocher de Thot/Hermes inventeur de l’écriture et de Þór fils d’Óðinn créateur des runes. L’hébreu Eloïms désignant des “êtres divins”, est assimilable à l’urnordisk HelhĒm : “hĒm de Hel” ou Helig : “saint”. Thor-El était une divinité des tempêtes, chef du panthéon ugarithique, Roi lige d’Asherah/Anath : Déesse Reine des cieux, comme Taru époux de Wurusemu la Déesse du soleil Hittite, et Tarchon/Tarkhon : Dieu des tempêtes Etrusque, du nasili Tarh : “conquérir/sommet/tour”, apparenté au sanskrit Tura : “puissant” & au teangorlach Tuir : “pilier/monolithe”. Le Dieu prussien Kurkhe vient du racenna Tar Khon, du tusk Der Köning : “le Roi/le conquérant/le puissant”.
Þór est un recomposant linguistique basé sur l’éponyme Tųr/Tyr (de Tîrr : “gloire” en urnordisk, Dýrð en íslenska), Ziu/Zivis en tusk, désinence d’un ancien pré-indo-germanique Ziwo : “tonnerre”, du sumérien Zi : “droit” qui donna le Zeus Grec, Tiu en saxon, Tiuz en svenska, Tivus chez les Scythes, Zio/Saxnôte, de Saksa : “épée” en Angleterre, tous 2 Asa de la guerre, ce dernier ayant cédé sa place, après que le loup Fenrir : “éclipse” lui eut mangé le membre, et qu’il devint Enhendr Ass : “l’Ase manchot”.
En gaulois c’est Taranis : “tonnerre”, le Dieu kelt Lug : Dieu de lumière, appelé Dorn Braz : “main longue” en brezhoneg. C’est également l’évhémérisation du Dieu Gaulois Noden : “Distributeur”, appelé Nuada Airgetlam : “Nuadu main d’argent” en teangorlach, Roi des Tuatha Dé Danann qui cède son titre à Bres : “juge”, Roi Fomoraig : “esprits des mers” (venant selon la légende de Skandinavie), suite à la Cath Maighe Tuireadh : “Bataille de Mag Tured” et/ou : “Bataille de la plaine des scories” (définition de la rune Hagals).
Tuireadh vient aussi de Tuir : traduisible par “pilier/monolithe”, et rend en sus l’idée “d’amoncellement de scories/Terri/Terril” en Irlande. Þór et Tųr sont tous deux fils d’Óðinn, métaphorisme signifiant qu’ils en sont les hypostases. C’est pour cette raison qu’ils partagent en commun certaines dénominations.
Þór/Þórn/Thor : de ÞunraŔ : “tonnerre” est fils d’Óðinn : “souffle vital” et de Jörd : “la Terre”, tout comme Tir est fils d’Óðinn et de Frigg : “la terre” en urnordisk. Taran/Taranis : “tonnerre” selon le légendaire Kelt, est le fils probable de Tured : “scorie” (la rune Hagals mise pour Óðinn, son pouvoir et sa force) et de Tir : “terre” en teangorlach.
Vingðórn : “gardien du sanctuaire”.
Vingnir : “le gardien, l’hôte”, dans la Valfþrudnir.
Okuþór : “Þór au char”.
Viggðórn : “Þór la foudre”.
Þórr-Karl : “Þór gaillard, Þór l’indépendant”.
En Laponie, Þorr-Karl s’est transposé en Horagalles, & fut surnommé Agja : “Grand-père” & Adschiegads : “le petit père”.
Klinþór : “Þór teintant”, surnom Viking.
Rauðbarðr : “barbe rousse”, son père étant Harbarðr.
Rauðskeggjaðr : “aux poils roux”.
Ennilangr : “front long”, alors que son père est Ennibrattr.
Veúrr : “défenseur”.
Sigurd : “celui qui combattit”.
Siguðr Fáfnirbani : “Sigurd tueur de Fáfnir”.
Siegfried : “l’ami combattant”, Siffroj/Sîfroy [Sîfroï] en fransisk.
BölkvĒtir Loka : “destructeur des perfidies de Loki”, selon une strophe de la Skáldskaparmál.
Grani : “le beau, le magnifique”.
Herguð : “Dieu de la guerre”.
Hlórriði : “celui qui s’exerce au chant”, dans la Þrimskiriðasaga.
Valkjósandi : “l’électeur”.
En Suède, vers le Xème/XIème siècle, pendant l’intolérance “Chrétienne” des papaŔ, qui proscriront le nom et le culte d’Óðinn, c’est son fils Þór qui se substitua momentanément à lui.
Go-far : “bon Père”.
Go-bonden : “bon paysan”.
Akerbonden : “bonhomme des champs”.
Björn : “l’ours”.
En Normandie l’Ase de la guerre adulé par les Vikings, prit le diminutif familier de Þóret/Thoret, le fréquentatif Þórin/Thorin devint un prénom christianisé.
Notes complémentaires :
En tchouvache, langue turcophone d’un peuple Altaïque et Shamanniste de moyenne Volga, Tora/Tura : “le ciel” et Torun : “taureau” (en sa dernière année), comme l’hébreu Shôr : “taureau/Dieu” à l’origine du nom Israël, par Jeshurùn : “taureau/Dieu rassasié” (Deutéronome XXXII : 15 et XXXIII : 5-17), sont des termes empruntés aux Nordiques.
Une concordance ethno-linguistique évidente peut se faire entre les Altaïques (Turcs, Mongols, Toungouses et Mandchous), Ouralo-Altaïques (Hongrois, Finlandais, Estoniens, et les Khazars dont descendent les “juifs” Ashkénazes), Germains, Kelts, Skandinaves. Selon Tacite, les Altaïques comme les Germains disent en concordance, que : “Enfermer Dieu dans une image est contraire à la Grandeur Céleste”.
Öz en turc c’est : “la vie, l’essence propre”, Oz : “Est” en amharique (éthiopien), Aza : “ange/ envoyé céleste” en araméen, prennent leur origine de l’urnordisk Ass//Asa/AsiŔ : “Dieu/ /Dieux”, d’où vient le mot Asie, la “terre des Dieux”, tout comme Goth signifie aussi “Dieu”. En keltisk, Asia est le nom du seigle. Les légendes disent qu’Óðinn était Scythe (de même que la fée Morgane), ce terme était appliqué aussi par les copistes du Moyen Age aux Goths, aux Scots (anciens Irlandais et plus tard Ecossais), ainsi qu’aux Pictii : “Pictes/peints/rusés” et Kaletonii : “Calédoniens” des Highlands, de Kaleto : “dur” (le terme est à rapprocher de celui des Calètes du Hvítaland, Pays de Caux, en Normandie Orientale, de Cat/Cait royaume picte de Calédonie et de celui des Chattii de Germanie) issu de Kalt : “froid” et Kad : “combat” en keltisk, Hildr : “combat” en norrois, ainsi que Ona : “relatif à” en ur-keltisk.
En héraldique, Tor est le cryptogramme des émailleurs. En Armorial : “Science des armoiries”, il désigne la gauche des blasons.