GLOZEL Corpus des inscriptions, du Docteur Antonin MORLET.
Planche XLVII – 1 – Inscription sur la plus petite tablette d’argile découverte à ce jour.

(comparez avec la “traduction” de la : Fig. 3 Tablette d’argile de Glozel, du Professeur Hitz…)
Texte restitué :
KûŔ dwn oll kùùng na kirqre kgar Giiii(Ŕ) linga
Translation :
Domptant la forêt profonde, le puissant Roi arrive, consacré d’un legs de bonnes énergies (positive).
Lexique :

  • KûŔ : “domptant/mâtant“, Kväsa en dönsk tunga.
  • Dwn : “forêt profonde” en keltisk, la Douna gauloise, qui est également la Bearu germano-skandinave.
  • Oll : “puissant” en keltisk, radical du français Olofée.
  • Kùùng/Kung/Köng/Köning : “Roi/Seigneur” en gotiska. Le mot racenna Luχumne/Lauχumne : “Lucumon/Roi/Prêtre-Roi” (X = K), est lui même redevable à la symbiose du terme ; Oll-Kuung : “puissant Seigneur” en Llo-Kuung (avec “o” rare, presque inexistant en étrusque, écrit “au” et interverti).
  • Na : “arriver/atteindre” en urnordisk.
  • K’rqre : “sacré/consacré“, Kerkr en gotiska, à l’origine du Crequier héraldique, KrekiĒ : “prunelier” en ruskall, du Korakos Scythe : Dieu corbeau, Divinité du sacré & bienfaisant, Καραγυος/Karaguos : “le devin” en koinè, Kurkhe Dieu prussien de la végétation & Ukko Dieu Suprême finlandais. En sumérien KUR-KUR : “cône-cône“, désigne les 2 parties de la volve de la plante des rites sacrés (le champignon).
  • Kgar/Garg : “féroce” en gaulois, proche de Garanus : “grue” et de Gairri : “mollet“, à l’origine du français Jarret.
  •  /GiiiiŔ : stav runique appelée Relsœlis : “sens du soleil” exprimant un mouvement positif, comme le swastika indien, de Su-asti : “bien-être“. Sumérien Gi : “jambe”, à l’origine du grec Gamma et du phénicien Ghimel. Gi : plus vieille négation germanique, transforme “féroce” en son contraire antithétique : “bon”, le Ŕ final, est un pluriel de majesté et/ou de magnitude, dû au caractère sacré du signe, il est sous-entendu mais non écrit.
  • Linga : de l’urnordisk Link : “gauche“. C’est par la gauche que le sacré se transmet, Langa : “faire passer de main en main” en dönsk tunga est de même racine, terme à l’origine du nom de la terre sacrée d’Irlande : Lingus en teangorlach, en quelque sorte impliquant que l’île des Fomoraig, de Fors : “sages” et Mahr/MarŔ : “esprit“, Nordiques premiers habitants d’Eire soit Terre du legs et/ou Terre jurée, par le nasili Ling : “jurer” (jurer n’est il pas sacré, ne jure t’on pas sur des reliques !). Selon Isaïe XLVIII : 13, Yaweh crée la Terre de sa main gauche, les cieux de la droite. Make-Make Dieu créateur de Rapa-Nui (Ile de Pâques), de l’œil gauche regarde le passé, du droit voit l’avenir.

Notes explicatives :
Nous avons, dans ce présent texte, un exemple de la toute première Ųrkja : “poésie” euro-occidentale, bien plus antique que les scansions indo-germaniques, les stances ædiques grecques, la versification latine (héritée des Etrusques), ou les triades bardiques (des Kelts), aussi anciennes que les poésies eddiques (la Poétique, et celle de Snorri, de Œddisk/Æðask : “être en transe/devenir foufurieux“, présente dans les plus vieilles poésies germaniques).Le texte de la petite tablette est un poème allitératif. Il était sans doute incanté et/ou récité, comme une mélopée rythmique dont la fonction serait également mnémotechnique. Les syllabes/ digraphes ne sont pas plus de 8 par ligne. Leur décompte est chiffré au début, les allitérations soulignées, les accents sont gradués ( en gras : “fort”, ou normal ◊ : “faible”, selon leurs accrophonies). Il y a des mots rimes ricochets : KûŔ et Kùùng en couplé, Kirqre, Kgar et GiiiiŔ en triade, une parentèle graphique entre Kû/K’r, ainsi que des rimes assonantes allitérées, en paires (K/Kg) et trios (Ll/N/Ll), au début des lignes, et 4 familles de 4 allitérations.

–                     –  ◊    *
5°) – K û Ŕ   d w n   ll   k ùù ng   n a
+        =   ==              =
*    *   ◊   —        –              *
7°) – K’ r q r e   k g a r   g iiii (Ŕ)   ll ng
+   +            +                ==

  1. 2 k et 2 g longs.
  2. 1 Ŕ long, et 3 r brefs (l’autre Ŕ entre parenthèse, est un pluriel de   majesté dû au sacré du signe, représenté dans son intégralité, il n’est ni graphique ni prononcé).
  3. 2 n brefs, 2 ll longs.
  4. 2 ng et 1 q brefs, 1 k’ moyen.
  • K’rqre/Kgar dérivent d’un terme commun, et sont avec Camm/Ceimm : “courbe/marcher” à la base de mots/noms tels que Gargan/Gargantua(t) : “peuple au jarret courbe/(ou)/peuple à démarche de grue” Démiurge gaulois, l’ur-keltisk Querkos, teangorlach Quert : “pommier sauvage“, Korakos : Dieu Scythe, Charon : Dieu Etrusque, Circée : Déesse Grecque et Saraf : “brûlant” serpent/dragon cornu Hébreux en Nombres XXI : 8-9, d’où Céraste par la koinè Κεραστές/Kerastès : “cornu“. En II Rois XVIII : 4, Saraf est le Nehushtàn, de Nehoshet :  “airain” (la matière) et Nahash : “serpent” (la forme), imageant Christ, est à l’origine des Séraphin : “angelot“, Sarphati : “Français” et Saphon : “nord” hébreu.
    En koinè les lettres sacrées Κ-Κ-Ρ/K-K-R donnèrent Κιρκαιον/Kirkaion : “mandragore“, lexis de Κορκορον Κυνειον/ Korkoron Kuneion : “mycète à forme de chicon” et Krokos : “crocus/safran“. Scandé 3 fois, Κυκρυ/Kukru : “résine de pin” en akkadien, est l’incantation des fêtes de Lathone/Hélène, dont la larme est résine, de la koinè Ηελανε/Helane : “torche“. Le fuþark KaunaŔ : “feu sacré” et fuþorc Cen : “torche“, les relie à une culture connexe. Afin d’en conjurer les pouvoirs, le mythique Dieu gaulois Kargantœ/Gargan miniaturisé et pluralisé par les PapaŔ, devint le Luchrupàn : “gnome (koinè “intelligence“)” teangorlach, Korigan (ed) : “goblin(s)” Brezhoneg, ainsi, ne pouvant être détruit il fut amoindri. Le Moyen Age féodal combattant le retour du paganisme, en fît un géant paillard, Père du démon malveillant Pantagruel, prototype du Malin-génie de Descartes. Dans presque tous les pays skandinaves, le légendaire Tröll est un “géant“, en fait un “géant sylvestre“, sauf en Suède où le folklore en fit un “lutin” et en Normandie où devenu Drol par une autre acception il désigne un “enfant”.
  • Þórshamarr : “marteau de Þór” emblème de fécondité (bien ou mal), rellsœlis ou andsœlis dönsk tunga, swastika ou sauvastika sanskrit, croix crochée/gammée dextrogyre et senestrogyre, du Γ/γ : Gamma/G grec, et “latin” Dextre : “droit“, Senester : “gauche” (Cerr teangorlach emprunté au keltisk Sen : “ancien/ antique/direction” [qui donnera le français Assener] et Nert : “force physique“, l’ancien terme latin étant Lævus : “gauche“) et Girare : “faire tourner“, est connu depuis l’origine du concept religieux et représente le Principe Divin (galets préhistoriques de Lauris, Vaucluse).
  • GiiiiŔ : Ŕ est parfois prononcé, mais le son global est à l’origine d’autres lexèmes comme, Gwir(o)/Wir(o) : “homme/mâle/force/ puissance“, Ri : “vaillant“, Rig/Rix : “Roi/puissant” en ur-keltisk, Wer : “homme” en fransisk, Fer en teangorlach, Ver : “printemps” en dönsk tunga, car la nature y retrouve Vighugr : “vigueur” en urnordisk.

Il a symbolisé le Shamann,  dessin appelé Runn-man : “l’homme qui court” en norrois, c.-à-d. “la course du Shamann“, Runningman en english. Le même lexis est à l’origine du nom des Franks, de Wrang participe passé de Wringen : “tourner” en tusk, Wœring en gotiska, et surnom de la tribu “juive” d'(E)phraïm (W et P sont de glyphes identiques en glozélien, et le W runique ressemble à un P “latin”), de Grannus : Dieu gaulois guérisseur, Grian : Dieu solaire irlandais, qui avant d’être masculinisé par inversion de polarité religieuse, était la Déesse du soleil (le mythe est nordique), hypostasiée en l’héroïne Grainné (Iseult en français, Isodd en normand). Il est racine des mots Kerke, Virevolter, Giration, Varappe, Wraper etc… Exemple : Le Sammah, danse des Derwiches tourneurs, du perse Darwich : “pauvre“, s’effectue en sens andsœlis, bras droit à 45° paume vers le ciel, bras gauche à 225° paume vers le sol (copiant les runes  /J représentant la pierre de la meule cosmique, et  /Ē symbolisant l’axe de cette même meule), sa giration s’arrête 4 fois. Soufistes d’Anatolie (Empire Hittite), Megjans en turc, issus des Philosophes de Megare (école d’Euclide le Socratique), Sophistes Grecs de Cappadoce et Phrygie, envahies par les Cimmériens et Kelto-Galates, à la philosophie due au Druidisme (Pythagorisme), aux Prophètes de Baal mentionnés en I Samuel X : 5, II Rois XVIII : 26 et Lévites (les Louvites, peuple Indo-Européens) en I Chroniques XV : 27. L’ordre Derwiche, fut structuré au XIIème siècle par l’anatolien Nevlama.

 


Considéré comme symbole de l’acte générateur et sexuel, pictogramme devenu :  /Ankh : “clef de vie“, Croix ansée/Tau ansé d’Egypte,  Ankh symbolise le Benen : “gland pénien” surnom d’Horus, et Tau le Cteïs : “pubis vulvaire” en kemt (égyptien), le Θ/θ/Th/ Θετα/Thèta grec, racine de Θεος/Theos : “Dieu“, il évolua en croix kelte, figurée sur les pièces gauloises dites Potin au swastika (le swastika étant une double ellipse [voir à ce sujet l’explication de Lorthet], ancêtre de la rouelle kelte à 4 rayons, représentant la division du temps par deux [Noss/Noùs: “nuit” et Dia/Diuos: “jour“], puis sous-divisé par moitié [en Mat: “faste” et Anmat: “néfaste“]). Il est à souligner la parenté linguistique du mot kemt Ankhoun : symbolisant la vie, et son antithétique, le terme
brezhoneg Ankou : représentant la mort.Quant aux idoles bisexuées des glozéliens, dont une est représentée ci-dessous, elles typifient à la fois un pénis, 2 gonades et l’orifice vaginal (dérivées de la stav : “lettre/pénis”  /F, 1ère lettre du système phonologique runique, mis pour Freja : “aimer“, Vanadisa (Déesse Vane) de l’amour et de la fécondité, de la prostitution sacrée et des cultes orgiaques, rune à caractère phallique, et de  la  rune   /O,  la  dernière  du  Fuþark,  mis  pour  Óðinn  Père  des