PHOSPHENIA est heureux de présenter les travaux de Vladimir ROSGNILK et de la fondation Ark’All qui visent à développer une compréhension originale et meilleure du monde et de l’homme, par la création d’une nouvelle forme de pensée et d’étude, et ceci par l’approche globale et les systèmes non-cartésiens.
Dans son ouvrage intitulé ” L’émergence de l’Enel ou l’immergence des repères ” et sous-titré ” Introduction à l’étude des formes et des champs de cohérence “, sont présentés des textes de J. RAVATIN, P. SMIRNE, L. J. DELPECH, G. HADJO et V. ROGNILSK. On y trouve aussi une approche des eifs(anciennement nommées ” ondes de formes “) unique en son genre. Les eifs ne sont pas envisagées comme un phénomène rationnel car elles n’ont pas été jusqu’à ce jour correctement abordées. Ces travaux sont aussi développés dans la revue ” Ark’all Communications ” qui sera présentée plus loin.
Le nom ” onde de forme ” fut donné par ENEL dans les années 1920. Depuis ENEL et ses immenses travaux, d’autres chercheurs ont continué : R. de LAFFOREST, J. de la FOYE, de BELIZAL, CHAUMERY, MOREL et bien d’autres. Mais les eifs étaient connues des Anciens (Egyptiens, Hébreux, etc.). Aujourd’hui, les eifs ou ” ondes de formes ” se rattachent à la radiesthésie, à la radionique et à la géobiologie.
Dans cet ouvrage, les eifs apparaissent comme l’indice d’un autre champ de cohérence. D’autre part, de multiples travaux inconnus ou rarement cités sont décrits et repris dans le formalisme développé par J. RAVATIN. Les eifs sont certainement encore plus fondamentales que l’électricité, les ondes électromagnétiques ou l’énergie atomique. C’est dire leur importance dans tous les domaines de recherche et d’application, que ce soit en physique, en chimie, en alchimie, en architecture et habitat, en biologie ou en médecine (homéopathie et acupuncture en sont baignées).
Les textes de V. ROSGNILK, et ceux des quatre auteurs présentés avec lui, veulent faire connaître une partie des travaux sur les eifs réalisés à ce jour, ainsi que leurs applications possibles dans les domaines suivants : industrie (chimie, métallurgie, céramique), lutte contre les pollutions multiples, biologie, agriculture, etc.
De gros appareils ont été réalisés par ces chercheurs. Ils sont, soit des extensions d’appareils anciens, soit tout à fait nouveaux. V. ROSGNILK présente tout cela et l’on voit que les eifs ne se placent pas au niveau d’une physique amusante mais interviennent partout.
Dans son ouvrage, V. ROSGNILK fait connaître le nouvel esprit qui associe des chercheurs de toutes disciplines : mathématiciens, physiciens, chimistes, biologistes, médecins (allopathes, homéopathes, acupuncteurs, anthroposophes), ostéopathes, architectes, musiciens, épistémologues, philologues, théoriciens et praticiens, sensitifs et radiesthésistes.
Il ne s’agit pas de se satisfaire d’une science analytique qui se contente souvent d’être purement descriptive. Une telle science, faute de vue globale (suivant la terminologie de J. RAVATIN et la présentation de V. ROSGNILK dans cet ouvrage) reste à l’extérieur des phénomènes et s’épuise à séparer objectif et subjectif.
L’ouvrage se présente en quatre tomes dont les deux premier sont épuisés. Des fac-similés ou une nouvelle édition pourront être envisagés si l’intérêt est suffisant.
PHOSPHENIA espère bien pouvoir présenter prochainement d’autres travaux, toujours en rapport avec ce passionnant domaine qu’il est courant, de nos jours, d’appeler énergie libre. En particulier, il est prévu de remettre au jour différents travaux de Maurice-E. GUIGNARD relatifs aux trajectoires d’Ovnis, à la structure de la lumière selon les hyperboréens, aux nappes de magnétisme, aux univers jumeaux A et B, à l’épistémologie, etc.