Cette page est essentiellement consacré à la présentation des œuvres de Maurice-Erwin Guignard récemment décoré de l’Ordre du Mérite pour les Sciences et les Arts de Berlin, en raison de ses découvertes linguistiques relatives au déchiffrement de la langue étrusque. Contrairement à bien d’autres étruscologues, il s’est appuyé sur les langues celtico-nordiques et les traductions issues de ce déchiffrement jettent de nouvelles lumières dans de nombreuses disciplines scientifiques. Nous espérons bien pouvoir présenter ultérieurement d’autres auteurs dont les contributions toucheront les mêmes domaines de recherche.

C’est en février 1962 que M. Guignard commençait à publier progressivement ses découvertes, à compte d’auteur. Ainsi, paru en plusieurs fascicules son ouvrage intitulé ” Comment j’ai déchiffré la langue étrusque “. Simultanément, il entretenait une correspondance volumineuse avec nombre de chercheurs : les professeurs Jacques de Mahieu et Herman Munk de l’université de Buenos-Ayres, le professeur P.-A. Gloor de l’université de Genève…

Depuis 1980, M. Guignard n’avait plus rien publié, bien qu’il eut rédigé de nombreux manuscrits sur les traductions de toutes les inscriptions étrusques connues, sur la colonisation étrusque du Japon, de l’Amérique du Sud et de l’Océan Pacifique car il détenait des cartes lydiennes découvertes par les colons groenlandais et rapportées à l’abbaye dunoise de Nottonville par le père-abbé Gencien Guygnard, à la fin du XVème siècle. Ses traductions confirmaient à 100 % l’hypothèse du professeur Licinio Glore qui soutenait que les étrusques avaient colonisé le monde entier.

La publication de ses dernières recherches relatives à la colonisation étrusque du Japon confirme éloquemment les traductions parues dans les trois éditions de ” Comment j’ai déchiffré la langue étrusque ” que la revue Atlantis a reproduit exactement. En publiant une nouvelle série de traductions étrusques, l’auteur fournit de nouvelles clés de déchiffrement qui n’avaient pas toutes été mentionnées dans les trois éditions anciennes, démontrant à quel point les étruscologues s’étaient fourvoyés en allant chercher comme langue comparative des idiomes tout à fait primitifs tels que le hottentot et le canaque.

Il nous révèle que les rad étrusques, ces prêtres versés dans la médecine, les mathématiques, etc. savaient produire de l’électricité statique de haut voltage pour l’emmagasiner ensuite dans des condensateurs de grande capacité, c’est à dire de quelques dizaines de farads, alors que la technologie moderne n’est encore parvenue qu’à fabriquer des condensateurs dont la capacité n’excède pas quelques microfarads. Les condensateurs étrusques qui étaient nommés orku-hôlkar se composaient de deux cylindres coaxiaux imbriqués l’un dans l’autre et séparés par un diélectrique spécial non encore découvert par la science moderne… Comme l’atteste un texte ancien, grâce à leurs appareils électriques, ces rad étrusques pouvaient agir sur la météorologie.

Parallèlement à ses recherches étruscologiques, M. Guignard publiait en plusieurs fascicules ” Les architectes odinistes des cathédrales “. Cette collection est issue du dépouillement méthodique de tous les manuscrits de famille (en vieux-norvégien et bas-franconien) qui proviennent des archives des loges odiniques des cathédrales de Chartres et de Séez. Un aïeul de l’auteur, Jon Guygnart, fut le Grand-Maître et l’architecte de la cathédrale de Chartres. Elle est le fruit de l’étude systématique du trésor constitué par les minutes et archives des Guygnard, tabellions et notaires royaux à Chartres (1380-1600), à Conie-Molitard (Dunois) et à Neauphle-le-Château. Ainsi, reviennent au jour des secrets prodigieux qui étaient enfouis depuis six siècles dans les cryptes et les dédales murés des cathédrales bretonnes et normandes.

C’est ainsi que l’auteur put lire le mémoire (datant de 1082-1085) de Sigfusson, le créateur islandais de l’architecture gothique, écrit dans sa langue nationale qui était encore celle des chartrains. Il en donne des extraits significatifs dont il fournit aussitôt la traduction française. Ce mémoire avait été recopié plusieurs fois et l’une de ces copies, ou vidimus, était tombée en 1940 aux mains des allemands qui purent alors expérimenter à Peenemünde, jusqu’à l’offensive russe, un type révolutionnaire d’appareil anti-pesanteur qui, depuis 1945, a été fabriqué en grande série dans les Andes et l’Antarctique…

L’auteur a aussi compulsé un autre mémoire très concis de l’alchimiste islandais Gissur qui vint aussi à Chartres pour encourager Sigfusson. Il apprit aux chartrains à piler et à fondre les agates extraites des cheminées volcaniques d’Islande.

Avant de repartir vers la Grande Irlande du sud ou Pérou (irland it mikla), Saemund Sigfusson avait marié sa fille Sigyn à Erwin Guygnart, fils du grand-maître Hugo Guygnart. Ce dernier était le petit-fils d’Erwin Guygnart, lui-même fils d’Eginhard, biographe de Charlemagne, et d’Irma, fille de l’empereur Carlovingien.

En partant pour l’empire inca, Saemund Sigfusson avait laissé plusieurs cartes de l’Amérique qui furent recopiées à l’abbaye de Nottonville puis transmises à Roger II, roi de Sicile, qui les confia à son secrétaire arabe El Edrisi. Elles parvinrent ensuite au géographe turc Piri Reis…

Sur le plan climatologique, ces cartes nous indiquent que la glaciation du Groenland a commencé vers le premier millénaire avant notre ère. Jusqu’au Ier siècle de notre ère, le Groenland était peuplé de proto-celtes ou Atlar.

Sur le plan de l’astronomie, ces archives nous révèlent les alternances de périodes glaciaires et tropicales sur notre planète. En effet, pendant trois siècles, l’abbaye dunoise et l’abbaye groenlandaise de Ketilsfjordr étaient en relations étroites et régulières. Les moines groenlandais, en fait des godis, avaient pu récupérer les archives d’une station astronomique lydienne et ils en avaient adressé des copies au père-abbé Guygnart. Ces archives nous renseignent d’une façon laconique mais précise sur l’histoire de notre système solaire, trois millénaires avant notre ère. Il est vrai que les chaldéens, élèves des lydiens, nous ont aussi fourni quelques informations fragmentaires sur cette histoire.

Les cartes de Sigfusson représentent aussi les nombreuses pyramides aujourd’hui submergées par les eaux atlantiques à la suite d’effondrements géologiques. Il explique les effets des nappes magnétiques qui dématérialisaient les marins, les animaux et les matières minérales et organiques, aux abords de ces pyramides englouties.

Phosphénia espère publier progressivement toutes les études de M. Guignard, de manière à éclairer toujours davantage les différents domaines des connaissances humaines.