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L’Ogham

Triskel indo-germanique sur Hémidrachme Perside (Pakor II – 1 à 50 ap. J.C.) L’Ogham n’est pas un alphabet au sens propre, ni même les runes druidiques, c’est un BETHE-LUIS-NION-OGOM (Oghom/Ogham/Ogam), BETHE-LUIS-FERN et/ou BOIBLE LOTH selon différents classement ou diverses légendes. C’est un système mnémotechnique au premier degré, degré supposé originel de l’écrit, pour mémoriser et […]

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Runes oghams

Certains pourront trouver cette étude un peu technique, car ce n’est pas aux runes et oghams de se mettre à notre niveaux, mais à nous d’élever notre culture et nos connaissances spirituelles. Parce que parler à tout va de tirages de runes et autres oghams, en mettant presque systématiquement le côté littéraire historique et linguistique […]

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Stula

/Hrörnar þoll su er staðið þorpi á Hlųrat henni borkr né barr, Svá er maðr sá er manngi ann, Hvat skál hann lengi lifa  ?/ Hávamál “L’arbre dépérit sur son lopin dressé, Sans écorce, ni feuillage le protégeant  ; Ainsi en est-il de l’homme esseulé  : Comment vivrait-il en santé longtemps  !” “Paroles du Très-Haut” (Chant suprême Íslenskr strophe […]

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Les runes, côté gauche du coffret d’Auzon

Côté gauche  ; y est gravée l’histoire des 3 Nornes (que d’aucuns ont pris faussement pour les Mages, alors qu’elles sont vêtues comme les 3 personnages du bas-relief de Housesteads, Northumberland), jaugeant l’âme d’un défunt (représenté dans un tertre, que des chercheurs, influencés à tort par leur culture judéo-chrétienne ont [mé]pris pour le Christ dans un […]

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Les runes. Côté droit du coffret d’Auzon

Côté droit  ; y est gravée l’histoire du forgeron Völundr. Texte en runes (en rapport avec la gravure)  : Oþ læunneg Romwaldus and Reumwalus twœgen gibro þær af œddæ hiæwyl if in Romæ kæstri. Translation  : Loin de leur récompense (héritage), Romulus et Remus, les deux frères, une louve (prostituée) les a nourris à Rome. Note  : Louve, était […]

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Les runes. Face antérieure du coffret d’Auzon

Face antérieure de la cassette (où se situait le plastron ouvragé en argent de la serrure)  ; y est gravée à gauche la suite de l’histoire de Völundr, à droite l’adoration des Mages. Texte en runes (sans rapport avec la gravure)  : Hronæs bán fisc-flódu áhóf on Fergen-berig  : Warþ gásric grorn, þær he on greut giswom. Magi/Mægi. […]

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Le coffret liturgique d’Auzon et ses runes

Ce coffret fut commandé par le Wisigoth (donc arien) Victorien Comte d’Auvergne au Vème siècle à la Northumbrie  ; Risci le termina au VI/VIIème s., mariant du gotisk bâtard & l’onciale latine avec le Fuþorc anglo-frison, dans des textes Biblico-mythologiques. Seule la Völundarkvida  : “Chanson de Völundr”, nous renseigne sur les scènes de la face antérieure (avec […]

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Le caillou runique d’Arguel (Doubs)

Au IVème siècle, l’ancien Fuþark servit comme base de départ à l’alphabet de Wulfila/Ulfilas  : “louveteau”. Ses 27 lettres sont un compromis avec l’ancien alphabet grec de 27 lettres, et les runes magiques dont la principale composante est de 27 staffir. Pour exemple je citerais le caillou d’Arguel (Doubs, Franche-Comté), portant 24 runes sur l’avers (nombre […]

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L’Áttarós : "rose des vents" normande

Invocation norroise, pour attirer le vent sur un point donné de l’Áttarós  : “rose des vents” normande. – Raþumk, í byr …, af blása fųrir vor góðs, í nafni …, ek vatni yfir höfuð-áttirnar með ask-vöndinn, GiŔ ég köllun, Njöðr, Hela og Þórs-hamarinn  : «  J’ordonne, au vent favorable de … (nom de la rune), de souffler pour […]

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Les cornes d’or de Gallehus

D’autres représentations de ces cornes, sont tirées de la mythologie  : – Planche A/2  : L’homme à la corne est HĒmdall/Mimir, partageant le même attribut, le cavalier est Óðinn/Tyr/TĒwar  : “le Dieu”, Tir de l’urnordisk Tírr  : “gloire”, étant le principal théophore des HĒtir  : “surnoms” d’Óðinn (aussi Planche B/4). – Planche A/3  : Les Werulfs, hommes à tête de loups […]

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Les cornes de Gallehus d’or

Notes complémentaires  : En tant que cornes de libations, typifiant le pied du champignon sacré, l’Hirlas  : “corne à boire” des Brittoniques en kymris, l’antique Rhyton hellène (prononcer “rhuton” en koinè, le Y grec était un U, comme en urnordisk et norska), de Rhein  : “couler” de même origine que le français Ru et Ruisseau, et de racine […]